L'Union Nationale des Constructeurs Immobiliers estime dans un communiqué que l'accession à la propriété reste envisagée comme « un enjeu social majeur » par le Premier ministre et le ministre du Logement.
Les difficultés budgétaires rencontrées par la France en ce moment ayant fait craindre une remise en cause plus radicale du Prêt à Taux Zéro (PTZ), l'UNCMI se dit rassurée par les mesures annoncées par Gilles de Robien jeudi dernier dans le cadre de la présentation du budget logement 2004.
Selon Christian Louis-Victor, président de l'organisation syndicale des constructeurs, « le dialogue noué au cours de ces derniers mois [?] a sans doute permis de sauver l'essentiel pour ce qui concerne l'accession, même si, comme beaucoup nous aurions souhaité un budget plus offensif."
L'UNCMI réserve encore son jugement sur la mesure technique de prise en compte des revenus de l'année N-1 qui risque selon le syndicat « d'avoir un effet négatif sur le nombre de prêt accordés en 2004. La diminution sensible des crédits consacrés au PTZ serait en la matière en contradiction avec l'annonce du maintien des prêts accordés en 2004 par rapport à 2003.
L'UNCMI réaffirme par ailleurs que l'aide publique reste « indispensable à la qualité et à la diversité des logements souhaitée par les ménages dans un contexte de rupture entre une demande toujours très soutenue et une solvabilité qui s'amoindrit ».
Selon Christian Louis-Victor, président de l'organisation syndicale des constructeurs, « le dialogue noué au cours de ces derniers mois [?] a sans doute permis de sauver l'essentiel pour ce qui concerne l'accession, même si, comme beaucoup nous aurions souhaité un budget plus offensif."
L'UNCMI réserve encore son jugement sur la mesure technique de prise en compte des revenus de l'année N-1 qui risque selon le syndicat « d'avoir un effet négatif sur le nombre de prêt accordés en 2004. La diminution sensible des crédits consacrés au PTZ serait en la matière en contradiction avec l'annonce du maintien des prêts accordés en 2004 par rapport à 2003.
L'UNCMI réaffirme par ailleurs que l'aide publique reste « indispensable à la qualité et à la diversité des logements souhaitée par les ménages dans un contexte de rupture entre une demande toujours très soutenue et une solvabilité qui s'amoindrit ».