Vingt-cinq personnes d'origine africaine ont été expulsées vendredi matin d'un squat de la rue du Maroc à Paris (XIXème).
Il s'agit de la troisième évacuation d'un squat parisien depuis l'annonce par Nicolas Sarkozy de la fermeture des bâtiments insalubres suite aux deux incendies meurtriers qui avait fait 24 morts, dont 18 enfants.
La préfecture de police de Paris a précisé que le squat était un «ensemble immobilier très dégradé». «La visite d'un architecte de sécurité de la PP, le 14 septembre 2005 a confirmé que l'immeuble présentait de graves désordres structurels (murs, planchers, escaliers et façades dangereux) et des risques d'incendie élevés», a-t-elle fait valoir dans un communiqué.
Selon la préfecture un peu plus de trente personnes vivaient dans ce squat, dont une vingtaine d'enfants. «Toutes les personnes évacuées ont été prises en charge pour relogement», assure-t-elle.«Vingt huit familles avaient déjà été relogées (...) Les trois dernières familles pourront entrer prochainement dans leur futur appartement». Et d'ajouter : «L'immeuble sera restructuré afin de créer une dizaine de logements sociaux conventionnés».
Plusieurs élus de Paris étaient présents pour soutenir les familles ainsi que le président de Droit au logement (DAL) Jean-Baptiste Eyraud.
La préfecture de police de Paris a précisé que le squat était un «ensemble immobilier très dégradé». «La visite d'un architecte de sécurité de la PP, le 14 septembre 2005 a confirmé que l'immeuble présentait de graves désordres structurels (murs, planchers, escaliers et façades dangereux) et des risques d'incendie élevés», a-t-elle fait valoir dans un communiqué.
Selon la préfecture un peu plus de trente personnes vivaient dans ce squat, dont une vingtaine d'enfants. «Toutes les personnes évacuées ont été prises en charge pour relogement», assure-t-elle.«Vingt huit familles avaient déjà été relogées (...) Les trois dernières familles pourront entrer prochainement dans leur futur appartement». Et d'ajouter : «L'immeuble sera restructuré afin de créer une dizaine de logements sociaux conventionnés».
Plusieurs élus de Paris étaient présents pour soutenir les familles ainsi que le président de Droit au logement (DAL) Jean-Baptiste Eyraud.