David Rombaut nous explique avoir également fait face à des contraintes inhérentes au lieu imposé : "Il y a un fort dénivelé entre le haut et le bas du site, entre six et sept mètres, ce qui nous a obligé à séparer les différents espaces du site". De plus, il regorge de renouées du Japon, une plante invasive. Mais au lieu de l'éradiquer, l'architecte a imaginé le site afin que des tontes régulières puissent avoir lieu le temps que cette plante disparaisse, dans cinq ans environ. "Une fois ce problème endigué, nous pourrons mettre en place un programme de plantation", ajoute David Rombaut.
Des matériaux en réemploi dans la construction d'un centre de recyclage au Havre
R.D., le 29/08/2019 à 15:37