La Fédération Française du Bâtiment (FFB) du Nord-Pas-de-Calais vient de lancer le projet «Villavenir». L'opération consiste à construire entre 2008 et 2010 des maisons individuelles «vitrines du savoir-faire de la profession en matière d'économie d'énergie».
«Concevoir sur un même site, un ensemble d'habitations, vitrine du savoir faire de la profession et de chacune des filières métiers, répondant aux nouvelles formes d'attentes des clients», telle est l'idée du concept «Villavenir» lancé par la FFB du Nord-Pas-de-Calais.
Ainsi, 4 à 6 maisons individuelles vont être construites sur les sites de Loos-en-Gohelle dans le Pas-de-Calais d'ici à 2008 et sur le site de Lambersart dans le Nord à l'horizon 2010. Chacune d'entre elles intégrera de nouvelles technologies et mettra en avant les techniques d'une filière particulière : bois, acier, béton, brique. «Villavenir» exposera ainsi différents matériaux, divers procédés de construction, choisis par chacun des métiers du bâtiment, ayant tous un objectif de qualité architecturale et esthétique. Sans oublier des avantages environnementaux puisque l'objectif de ses maisons est surtout de réduire la consommation d'énergie passant de 130 kWh par m2 et par an comme c'est le cas aujourd'hui dans la région à 50 kWh.
Ces maisons seront par la suite mises sur le marché pour être normalement habitées, ce qui permettra d'évaluer leur consommation d'énergie. Enfin, elles vont également jouer un rôle dans la formation car elles montreront les nouveaux métiers du bâtiment et la modernisation du secteur.
Ainsi, 4 à 6 maisons individuelles vont être construites sur les sites de Loos-en-Gohelle dans le Pas-de-Calais d'ici à 2008 et sur le site de Lambersart dans le Nord à l'horizon 2010. Chacune d'entre elles intégrera de nouvelles technologies et mettra en avant les techniques d'une filière particulière : bois, acier, béton, brique. «Villavenir» exposera ainsi différents matériaux, divers procédés de construction, choisis par chacun des métiers du bâtiment, ayant tous un objectif de qualité architecturale et esthétique. Sans oublier des avantages environnementaux puisque l'objectif de ses maisons est surtout de réduire la consommation d'énergie passant de 130 kWh par m2 et par an comme c'est le cas aujourd'hui dans la région à 50 kWh.
Ces maisons seront par la suite mises sur le marché pour être normalement habitées, ce qui permettra d'évaluer leur consommation d'énergie. Enfin, elles vont également jouer un rôle dans la formation car elles montreront les nouveaux métiers du bâtiment et la modernisation du secteur.
