Cofiroute, la première société privée d'autoroute en France a obtenu un prêt de la Banque Européenne d'Investissement d'un montant total de 400 millions d'euros pour le bouclage de l'A86 qui comprend notamment la construction d'un tunnel de deux étages.
Au cours d'une cérémonie de signature sur les lieux du creusement du tunnel devant permettre de relier Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) à Versailles (Yvelines), Francis Mayer, vice-président de la BEI, a indiqué que ce prêt va permettre de financer un projet "qui entre parfaitement dans le cadre des interventions de la banque, à savoir financer des grands projets d'infrastructures et préserver l'environnement".
Il s'agit du premier prêt accordé à Cofiroute par la BEI qui a déjà débloqué 75 millions d'euros, la suite devant être versée au fur et à mesure des travaux. Ce prêt de deux tranches de 200 millions d'euros chacune est prévu sur une durée de 25 ans.
Rappelons que le bouclage de l'A86, qui consiste en la construction d'un tunnel de 10 km pour éviter l'engorgement de l'ouest parisien, est un projet d'un montant total de 1,7 milliard d'euros, dont la fin est programmée pour 2006.
Le tunnel devrait réduire le trajet des automobilistes entre Rueil et Versailles de 45 minutes actuellement à 10 minutes. Le coût du péage devrait avoisiner 5 euros.
Seuls les véhicules légers pourront emprunter cet ouvrage dont le conception a été maintes fois réaménagée en fonction des nouvelles réglementations de sécurité et des dernières catastrophes survenues dans des tunnels.
Le tunnel aura une conception orginale car il sera construit sur deux étages, chaque niveau étant réservé à un sens de circulation. Deux voies sont prévues dans chaque sens avec une régulation du trafic aux entrées.
Cofiroute souligne que l'allègement du trafic en surface va être de 15%, ce qui s'accompagnera d'une réduction de la pollution et des nuisances sonores.
L'histoire du tronçon a été émaillée de péripéties. Les travaux confiés à Cofiroute ont été, peu de temps après leur démarrage, stoppés en 1998 pour non respect des termes de procédures d'appel d'offres. Un deuxième appel d'offres a été organisé à l'issue duquel Cofiroute a gagné une nouvelle fois le contrat. Le chantier a pris près de deux ans de retard. Par ailleurs le tracé et des modifications de structures ont été réalisés .
Cofiroute, première société privée d'autoroute en France, est détenue à près de 60% par le groupe Vinci et le reste est partagé entre Eiffage et Colas (filiale de Bouygues). Les entreprises qui réalisent les travaux dans le tunnel sont des société appartenant aux trois groupes actionnaires.
Il s'agit du premier prêt accordé à Cofiroute par la BEI qui a déjà débloqué 75 millions d'euros, la suite devant être versée au fur et à mesure des travaux. Ce prêt de deux tranches de 200 millions d'euros chacune est prévu sur une durée de 25 ans.
Rappelons que le bouclage de l'A86, qui consiste en la construction d'un tunnel de 10 km pour éviter l'engorgement de l'ouest parisien, est un projet d'un montant total de 1,7 milliard d'euros, dont la fin est programmée pour 2006.
Le tunnel devrait réduire le trajet des automobilistes entre Rueil et Versailles de 45 minutes actuellement à 10 minutes. Le coût du péage devrait avoisiner 5 euros.
Seuls les véhicules légers pourront emprunter cet ouvrage dont le conception a été maintes fois réaménagée en fonction des nouvelles réglementations de sécurité et des dernières catastrophes survenues dans des tunnels.
Le tunnel aura une conception orginale car il sera construit sur deux étages, chaque niveau étant réservé à un sens de circulation. Deux voies sont prévues dans chaque sens avec une régulation du trafic aux entrées.
Cofiroute souligne que l'allègement du trafic en surface va être de 15%, ce qui s'accompagnera d'une réduction de la pollution et des nuisances sonores.
L'histoire du tronçon a été émaillée de péripéties. Les travaux confiés à Cofiroute ont été, peu de temps après leur démarrage, stoppés en 1998 pour non respect des termes de procédures d'appel d'offres. Un deuxième appel d'offres a été organisé à l'issue duquel Cofiroute a gagné une nouvelle fois le contrat. Le chantier a pris près de deux ans de retard. Par ailleurs le tracé et des modifications de structures ont été réalisés .
Cofiroute, première société privée d'autoroute en France, est détenue à près de 60% par le groupe Vinci et le reste est partagé entre Eiffage et Colas (filiale de Bouygues). Les entreprises qui réalisent les travaux dans le tunnel sont des société appartenant aux trois groupes actionnaires.