Face à un réseau ferré vétuste -faute dinvestissements suffisants dans la maintenance-, le ministre des Transports Dominique Perben a présenté lundi un plan de renouvellement de réseau ferré français. Un plan qui séchelonnera de 2007 à 2010.
Le plan de renouvellement de réseau ferré français fait suite à un audit suisse prônant une importante remise à neuf ainsi quà des propositions de réseau ferré de France et de la SNCF. Les objectifs de ce plan sont clairs : «moderniser le réseau ferroviaire et assurer sa pérennité, sans fermeture de lignes», garantir la sécurité du trafic et enrayer les ralentissements.
Ces mesures saccompagnent dune hausse conséquente des dépenses de maintenance entre 2006 et 2010. D'un montant d'environ 2,7 milliards d'euros en 2005, l'enveloppe gonflerait comme prévu de 110 millions d'euros en 2006, de 150 millions d'euros en 2007 comparé à 2006, de 140 millions en 2008 par rapport à l'année précédente, de 100 millions en 2009 et d'autant en 2010. Elle avoisinerait ainsi les 3,3 milliards d'euros en 2010.
Elle sera financée par des apports de l'Etat, une part des recettes tirées par RFF des péages d'infrastructures, de nouvelles cessions d'actifs immobiliers de RFF mais aussi «des économies d'entretien et d'exploitation».
Mais l'Etat envisage également de mettre à contribution les régions. «Une discussion va être ouverte avec les régions afin d'examiner la possibilité d'inscrire certaines opérations dans les prochains contrats de projets», notamment pour les lignes à trafic intermédiaire, indique le plan.
Au-delà es investissements supplémentaires dans la maintenance des voies, le plan de renouvellement du réseau ferroviaire prévoit «des méthodes de maintenance plus modernes» permettant de réduire les coûts grâce à des gains de productivité mais aussi la réduction des voies de service et des voies de gares.
Le plan évoque également la préparation d'un contrat Etat-RFF sur la période 2007-2010 pour améliorer la gestion des infrastructures. Toujours selon le document, «ce contrat sera préparé dès à présent en vue d'une signature en 2007».
Ces mesures saccompagnent dune hausse conséquente des dépenses de maintenance entre 2006 et 2010. D'un montant d'environ 2,7 milliards d'euros en 2005, l'enveloppe gonflerait comme prévu de 110 millions d'euros en 2006, de 150 millions d'euros en 2007 comparé à 2006, de 140 millions en 2008 par rapport à l'année précédente, de 100 millions en 2009 et d'autant en 2010. Elle avoisinerait ainsi les 3,3 milliards d'euros en 2010.
Elle sera financée par des apports de l'Etat, une part des recettes tirées par RFF des péages d'infrastructures, de nouvelles cessions d'actifs immobiliers de RFF mais aussi «des économies d'entretien et d'exploitation».
Mais l'Etat envisage également de mettre à contribution les régions. «Une discussion va être ouverte avec les régions afin d'examiner la possibilité d'inscrire certaines opérations dans les prochains contrats de projets», notamment pour les lignes à trafic intermédiaire, indique le plan.
Au-delà es investissements supplémentaires dans la maintenance des voies, le plan de renouvellement du réseau ferroviaire prévoit «des méthodes de maintenance plus modernes» permettant de réduire les coûts grâce à des gains de productivité mais aussi la réduction des voies de service et des voies de gares.
Le plan évoque également la préparation d'un contrat Etat-RFF sur la période 2007-2010 pour améliorer la gestion des infrastructures. Toujours selon le document, «ce contrat sera préparé dès à présent en vue d'une signature en 2007».