Motey-sur-Saône (Haute-Saône) devrait bientôt vivre une petite révolution. Les 26 habitants de ce bourg pourront en effet bientôt découvrir le plaisir de l'accès à leau potable.
Les 26 habitants de Motey-sur-Saône se prépare à accueillir... leau potable ! Démarrés en juillet, des travaux d'adduction d'eau devraient en effet s'achever en octobre pour permettre de constituer le premier réseau courante et potable du village. Car jusque-là, les habitants s'approvisionnaient en eau grâce à des puits privatifs, superficiels ou souterrains, qu'ils actionnaient avec une pompe électrique. «Au début, c'est charmant, on se dit c'est ça, la vie à la campagne, mais quand le puits est à sec les jours de grosse chaleur, c'est coton de vivre normalement, de faire tourner une machine ou même de tirer la chasse d'eau», résume Anne-Marie Courmaire, maire du village depuis 1997.
Au-delà des problèmes de sécheresse, l'eau provenant des puits n'est en théorie pas potable. De récents tests ont dailleurs prouvé que l'eau du village contenait trop de nitrate.
Et même si personne na «jamais été malade», la maire de Motey-sur-Saône a décidé en 2005 de faire construire un réseau d'eau communal. Un projet qui a auparavant nécessité lassurance du soutien du département pour financer une partie des travaux dont le coût total s'élève, selon Anne-Marie Courmaire, à 140.000 euros, dont 40.000 à la charge du bourg.
«Nous n'avons pas le choix. Pour obtenir de nouveaux permis de construire dans le village, les services de l'Etat exigent l'existence d'un réseau d'eau. C'est donc le seul moyen d'attirer de nouveaux habitants ici et d'éviter que le village se meure», explique-t-elle. Une première étape donc avant l'accès au haut-débit.
Au-delà des problèmes de sécheresse, l'eau provenant des puits n'est en théorie pas potable. De récents tests ont dailleurs prouvé que l'eau du village contenait trop de nitrate.
Et même si personne na «jamais été malade», la maire de Motey-sur-Saône a décidé en 2005 de faire construire un réseau d'eau communal. Un projet qui a auparavant nécessité lassurance du soutien du département pour financer une partie des travaux dont le coût total s'élève, selon Anne-Marie Courmaire, à 140.000 euros, dont 40.000 à la charge du bourg.
«Nous n'avons pas le choix. Pour obtenir de nouveaux permis de construire dans le village, les services de l'Etat exigent l'existence d'un réseau d'eau. C'est donc le seul moyen d'attirer de nouveaux habitants ici et d'éviter que le village se meure», explique-t-elle. Une première étape donc avant l'accès au haut-débit.