La passerelle, à l'architecture épurée, a été conçue pour se fondre dans le paysage. "On voulait que cette passerelle soit la plus discrète possible, qu'elle s'intègre dans le paysage", confirme Laurence Cressot. Le système d'ouverture et de fermeture répond à ce parti pris. En effet, grâce à son système unique, il ne comprend ni débord ni superstructure. Il permet ainsi de résumer l'ouvrage à un simple trait, qui disparaît dans le paysage horizontal et minéral du bassin Paul Vatine.

 

Les porteurs de projet ont également choisi de construire une infrastructure fine, avec une largeur de 4 mètres et une épaisseur de tablier de 80 centimètres. Là encore, cela permet à la passerelle de s'intégrer pleinement dans le paysage. Enfin, les matériaux utilisés, notamment le bois et l'inox, font écho aux couleurs, bâtiments et aménagements des alentours.

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