Patrick Bernasconi a été élu président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP).
Diplômé de l'Ecole spéciale des travaux publics, Partick Bernasconi, à 50 ans, succède à Daniel Tardy.
De 2001 à 2004, M. Bernasconi a assuré la présidence du syndicat des canalisateurs de France. Il a également été élu président du Syndicat des entrepreneurs de travaux publics de France.
Le président de Bernasconi TP était opposé à un autre candidat, Pierre Martin, président du conseil de surveillance de la SA Roger Martin. Principalement soutenu par les groupes Eiffage et Vinci, ce dernier plaidait pour une assez vaste remise à plat des missions et modes de gestion interne de la FNTP.
Bien qu’ayant l’appui du président sortant, Patrick Bernasconi a fait campagne sur le même thème de la rénovation. Face à Roger Martin, il a bénéficié de plusieurs atouts. Sa jeunesse d’abord : 50 ans contre 72 pour son concurrent –qui a notamment conduit l’entreprise Colas à voter pour lui, son meilleur ancrage auprès des représentants des PME et son dynamisme personnel. Enfin, pendant la campagne, il avait innové en ouvrant un site Internet où il détaillait son argumentaire et dialoguait avec les entrepreneurs.
De 2001 à 2004, M. Bernasconi a assuré la présidence du syndicat des canalisateurs de France. Il a également été élu président du Syndicat des entrepreneurs de travaux publics de France.
Le président de Bernasconi TP était opposé à un autre candidat, Pierre Martin, président du conseil de surveillance de la SA Roger Martin. Principalement soutenu par les groupes Eiffage et Vinci, ce dernier plaidait pour une assez vaste remise à plat des missions et modes de gestion interne de la FNTP.
Bien qu’ayant l’appui du président sortant, Patrick Bernasconi a fait campagne sur le même thème de la rénovation. Face à Roger Martin, il a bénéficié de plusieurs atouts. Sa jeunesse d’abord : 50 ans contre 72 pour son concurrent –qui a notamment conduit l’entreprise Colas à voter pour lui, son meilleur ancrage auprès des représentants des PME et son dynamisme personnel. Enfin, pendant la campagne, il avait innové en ouvrant un site Internet où il détaillait son argumentaire et dialoguait avec les entrepreneurs.
