En tout, huit entreprises sont consultées. Un traitement galvanique des ferraillages au moyen de courants électriques est même envisagé, avec le recours à des entreprises de gros œuvre comme Freyssinet. Mais la facture, de 2,5 M€ à la charge des seuls copropriétaires, qui ne bénéficieront d'aucune aide fiscale particulière, écarte d'emblée cette technologie. C'est finalement l'entreprise Marteau qui décroche le marché, pour un montant de 610.000 €, incluant un décapage et une purge des maçonneries, qu'il s'agisse du béton préfabriqué des avancées de terrasses, ou du béton banché des parois habitables.
Cap Corniche, une résidence sétoise qui lutte contre les embruns
Grégoire Noble, le 09/11/2015 à 15:51