Un socle "dynamique et fluide", accessible au public, a été créé et "réunit les deux niveaux de rez-de-chaussée, notamment autour d'une surélévation qui vient lier les deux bâtiments et la cour tout en créant une nouvelle terrasse", raconte l'architecte. Un noyau central dessert tous les plateaux de manière homogène. Pour cela, un escalier monumental a été construit. "Nous voulions créer un lieu de vie, qui soit ancré au site, à son histoire, en s'appuyant sur les qualités patrimoniales et les spécificités spatiales pour concevoir des espaces fluides, variés, atypiques, surprenants, pensés pour les utilisateurs. Nous avons cherché des interventions ciblées pour minimiser les déconstructions afin de transformer plutôt que démolir, en préservant la structure et l'héritage architectural industriel des bâtiments." Dans le bâtiment rue de Madrid, par exemple, deux mezzanines ont été ajoutées pour générer des espaces de travail. Le septième étage de l'autre immeuble abrite, lui, des salles de réunion mais aussi un espace de réception et de restauration réservé à la tenue de repas d'affaires.

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