A loccasion du salon Interclima+Elec, consacré aux innovations en matière defficacité énergétique, EDF a présenté son concours darchitecture de maisons bas carbone. Il sagit pour les architectes de réaliser une maison individuelle ou un bâtiment collectif respectueux de lenvironnement mais affichant également une identité architecturale. Détails du concours.
Quel habitat bas carbone pour demain ? Cest la question posée par la marque Bleu ciel dEDF, qui lance un concours darchitecture visant à récompenser des maisons individuelles et un bâtiment collectif pour leur faculté à allier esthétisme, performance énergétique et basse consommation de carbone.
Les équipes, constituées darchitectes et de bureaux détudes, peuvent concourir dans trois catégories : les maisons individuelles dentrée de gamme (ciblant les primo accédants), de moyenne gamme, et le bâtiment collectif. Chaque catégorie doit respecter un cahier des charges, qui stipule notamment la part dénergie consommée produite à partir dénergies renouvelables, le coût de construction, la surface et le lieu où doit être localisé le bâtiment.
Zones de forte construction
Ainsi, la maison individuelle dentrée de gamme doit présenter une surface de 110 à 120 m², pour un coût moyen de 1.100 euros/ m², et être située en zone pavillonnaire semi-urbaine en Bretagne ou façade Atlantique. La maison individuelle de moyenne gamme doit, elle, être construite en Ile-de-France, et le bâtiment collectif dans le Sud de la France. Ces régions nont pas été choisies au hasard, mais correspondent à «des zones qui connaissent actuellement beaucoup de construction», explique Eric Plantive, du pôle Recherche et Développement dEDF. «Nous souhaitions aussi mettre les équipes à lépreuve des différentes zones climatiques, pour que ce concours soit représentatif de lhabitat en France», poursuit Eric Plantive.
Vers un esthétisme des maisons bas carbone
«Nous voulons que ce concours soit loccasion dassimiler les solutions dénergies renouvelables tout en développant une esthétique des maisons bas carbone, sans oublier le critère économique, car ces maisons doivent pouvoir être répliquables et rapidement atteignables», explique Eric Plantive. «Si lhabitation bas carbone devient belle, les particuliers y seront forcément plus attentifs», estime t-il. Les projets doivent également se distinguer par un caractère bio-climatique prenant en compte le confort, léclairage naturel, et la production deau chaude sanitaire.
Les équipes peuvent soumettre leurs projets jusquau 15 février. Un jury composé de professionnels en retiendra cinq dans chaque catégorie, et les maquettes des lauréats seront exposées sur le stand dEDF à la Foire de Paris, à partir du 28 avril.
Les équipes, constituées darchitectes et de bureaux détudes, peuvent concourir dans trois catégories : les maisons individuelles dentrée de gamme (ciblant les primo accédants), de moyenne gamme, et le bâtiment collectif. Chaque catégorie doit respecter un cahier des charges, qui stipule notamment la part dénergie consommée produite à partir dénergies renouvelables, le coût de construction, la surface et le lieu où doit être localisé le bâtiment.
Zones de forte construction
Ainsi, la maison individuelle dentrée de gamme doit présenter une surface de 110 à 120 m², pour un coût moyen de 1.100 euros/ m², et être située en zone pavillonnaire semi-urbaine en Bretagne ou façade Atlantique. La maison individuelle de moyenne gamme doit, elle, être construite en Ile-de-France, et le bâtiment collectif dans le Sud de la France. Ces régions nont pas été choisies au hasard, mais correspondent à «des zones qui connaissent actuellement beaucoup de construction», explique Eric Plantive, du pôle Recherche et Développement dEDF. «Nous souhaitions aussi mettre les équipes à lépreuve des différentes zones climatiques, pour que ce concours soit représentatif de lhabitat en France», poursuit Eric Plantive.
Vers un esthétisme des maisons bas carbone
«Nous voulons que ce concours soit loccasion dassimiler les solutions dénergies renouvelables tout en développant une esthétique des maisons bas carbone, sans oublier le critère économique, car ces maisons doivent pouvoir être répliquables et rapidement atteignables», explique Eric Plantive. «Si lhabitation bas carbone devient belle, les particuliers y seront forcément plus attentifs», estime t-il. Les projets doivent également se distinguer par un caractère bio-climatique prenant en compte le confort, léclairage naturel, et la production deau chaude sanitaire.
Les équipes peuvent soumettre leurs projets jusquau 15 février. Un jury composé de professionnels en retiendra cinq dans chaque catégorie, et les maquettes des lauréats seront exposées sur le stand dEDF à la Foire de Paris, à partir du 28 avril.