L’association Aera (Actions, Etudes et Recherches autour de l'Architecture) a présenté vendredi à Toulouse, au cours d’une réunion publique, un concept de logements sous forme de coopératives d'habitation à vocation sociale en accession à la propriété.
Le principe de la coopérative d'habitation est de permettre un abaissement des coûts d'accession au logement.
Selon l’Aera, l'apport en fonds propre de chaque coopérateur n'excède pas 5000 € (qui pourront faire l'objet de prêt à taux zéro ou de financements exceptionnels par les fondations). Chaque coopérateur paie ensuite un loyer «HLM» tout en capitalisant grâce à la valorisation progressive des parts sociales au fil du temps. Chaque coopérateur décide de sa surface locative (surface qu'il va payer) en fonction de ses besoins et du budget qu'il souhaite consacrer à son logement. Cette surface locative comprend la surface de l'unité privative et une part des surfaces des espaces que le coopérateur a choisi de mettre en commun, et qui se trouvent ainsi démultipliés pour des usages spécifiques.
La coopérative d'habitation permet également le développement de la vie sociale et des solidarités de voisinage, selon l’Aera. En imaginant des logements adaptés à leurs souhaits et des espaces partagés, les coopérateurs peuvent apporter des réponses à des besoins auxquels les logements standard ne répondent pas : grands appartements pour colocations, espaces pour garde des enfants, ateliers pour certaines activités, grande salle « polyvalente » commune…
Selon l’association, six projets devraient voir le jour d’ici 2008 dans l’agglomération toulousaine.
Selon l’Aera, l'apport en fonds propre de chaque coopérateur n'excède pas 5000 € (qui pourront faire l'objet de prêt à taux zéro ou de financements exceptionnels par les fondations). Chaque coopérateur paie ensuite un loyer «HLM» tout en capitalisant grâce à la valorisation progressive des parts sociales au fil du temps. Chaque coopérateur décide de sa surface locative (surface qu'il va payer) en fonction de ses besoins et du budget qu'il souhaite consacrer à son logement. Cette surface locative comprend la surface de l'unité privative et une part des surfaces des espaces que le coopérateur a choisi de mettre en commun, et qui se trouvent ainsi démultipliés pour des usages spécifiques.
La coopérative d'habitation permet également le développement de la vie sociale et des solidarités de voisinage, selon l’Aera. En imaginant des logements adaptés à leurs souhaits et des espaces partagés, les coopérateurs peuvent apporter des réponses à des besoins auxquels les logements standard ne répondent pas : grands appartements pour colocations, espaces pour garde des enfants, ateliers pour certaines activités, grande salle « polyvalente » commune…
Selon l’association, six projets devraient voir le jour d’ici 2008 dans l’agglomération toulousaine.
