L'utilisation du BIM a permis de bien mener ce chantier qualifié de "complexe" par Alain Tayar : "Il a été bien préparé et donc bien exécuté", se félicite celui qui parle d'une "réussite majeure" pour le groupe NGE. Une prouesse qui a pu être réalisé sans dépassement de budget, malgré la crise covid, et sans accident sur le chantier, assure le directeur général de NGE Bâtiment.
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"C'est un exemple de technicité, dans lequel il fallait intégrer la modularité de l'espace, le fait que beaucoup de flux de nature différente le traverse - catering, backstage, public, entretien… décrit-il. Cela impose un niveau d'exigence particulière, avec un traitement de l'air, de l'acoustique spécifique, des problématiques de sécurité." Autant d'éléments qui ont demandé l'utilisation de diverses techniques et technologies. Avec une frustration malgré tout pour le "bâtisseur" : "quand on passe devant, on ne voit qu'un cube, et pas tout le travail de haute couture qu'a nécessité la réalisation de l'ouvrage".
Avec sa nouvelle phase de travaux, le château du Haut-Koenigsbourg fortifie son avenir
