Un consortium américain, anglais et guatémaltèque entamera en janvier 2003 la construction d'un canal sec (ferroviaire) qui reliera les océans Pacifique et Atlantique sur une distance de 550 kilomètres de long.
Le consortium regroupe l'entreprise américaine Odepal International, les britanniques de la compagnie Gertich Capital Manager, et des entreprises du Guatemala.
Ce projet lancé il y a quatre ans, estimé à 2,1 milliards de dollars, est accompagné de la construction de deux grands ports ultra-modernes sur chacune des deux côtes et permettra la création de quelque 20.000 emplois.
"Ce canal sec va concurrencer ceux qui existent déjà aux Etats-Unis et au Canada, longs de 3.500 à 5.000 kilomètres, mais il ne devrait pas affaiblir l'activité du canal de Panama dont les intérêts commerciaux sont différents", a expliqué à l'AFP le directeur des projet spéciaux du groupe Odepal international, Guillermo Catalan.
Les deux ports d'accès au canal sec, équipé d'infrastructures ultra-modernes pour le chargement des containers, seront situés à San Luis (Pacifique) à une trentaine de kilomètres de la frontière avec le Mexique, et Puerto Santo Tomas de Castilla (Atlantique).
Ce projet lancé il y a quatre ans, estimé à 2,1 milliards de dollars, est accompagné de la construction de deux grands ports ultra-modernes sur chacune des deux côtes et permettra la création de quelque 20.000 emplois.
"Ce canal sec va concurrencer ceux qui existent déjà aux Etats-Unis et au Canada, longs de 3.500 à 5.000 kilomètres, mais il ne devrait pas affaiblir l'activité du canal de Panama dont les intérêts commerciaux sont différents", a expliqué à l'AFP le directeur des projet spéciaux du groupe Odepal international, Guillermo Catalan.
Les deux ports d'accès au canal sec, équipé d'infrastructures ultra-modernes pour le chargement des containers, seront situés à San Luis (Pacifique) à une trentaine de kilomètres de la frontière avec le Mexique, et Puerto Santo Tomas de Castilla (Atlantique).