C'est l'entreprise Schüco, spécialisée dans les enveloppes de bâtiment, qui a fourni les solutions (avec son propre bureau d'études techniques), ensuite mises en œuvre par la société Aluvair, chargée du chantier de réhabilitation, lequel était supervisé par l'architecte Anthony Rio. "Le château des Pères n'est inscrit à aucun classement. La question était donc de savoir ce que l'on peut faire de ce genre de sites historiques", précise ce dernier. "Il peut y avoir beaucoup d'histoires et de fonctions. C'est un objet de réinterprétation. En l'occurrence, il s'agissait d'assembler des matériaux typiques des XVIIIe et XIXe siècles, avec une obligation de résultat, et une réglementation qui peut parfois poser problème. Arriver à trouver de la liberté dans la contrainte, c'est aujourd'hui la difficulté de nos métiers. Ce lieu est en fait un bâtiment industriel, mais en plus élégant."