Faute de trouver un logement en location, de plus en plus de jeunes ménages franchissent le cap de l'acquisition... quitte à s'endetter lourdement.
Pénurie de locations, allongement de la durée du crédit, possibilité de financer un achat sans apport personnel... tous ces facteurs conduisent les jeunes ménages à acheter un bien immobilier.
C'est en tous cas ce que révèle une enquête réalisée par le journal De Particulier à Particulier qui indique que désormais quelque 59,1% des acheteurs seraient aujourd'hui des primo-accédants contre 48,4% lors de la précédente enquête réalisée il y a deux ans.
Cet accroissement qui s'accompagne d'un rajeunissement des acquéreurs. Désormais, les 20-30 ans représentent 18,9% des accédants contre 16,4% lors de la précédente enquête qui se fonde sur les 3.884 questionnaires retournés.
La période est actuellement favorable à l'acquisition, l'écart entre un remboursement d'emprunt et un loyer n'ayant jamais été aussi favorable à l'accession à la propriété, relève l'enquête.
Si les acheteurs disposent de revenus plus importants, ils s'endettent davantage que par le passé. L'enquête met en avant un recul de l'apport personnel et une augmentation significative du recours au financement à 100%, y compris chez les cadres supérieurs et professions libérales dont l'apport personnel a pu s'effondrer avec les marchés financiers, explique De Particulier à Particulier.
Les employés, enseignants et ouvriers, plus prudents, ont quant à eux un apport, en proportion, plus important issu très souvent de plans d'épargne-logement.
Toutes catégories confondues, 18% des acquéreurs interrogés ont déclaré s'endetter sur une période supérieure à 20 ans et 19% indiquent avoir opté pour un financement intégral de leur acquisition contre 10% quatre ans auparavant.
Mais les prix élevés et un endettement important ont rendu les acquéreurs plus exigeants. Ils n'hésitent pas à multiplier les visites qui sont passées de douze en moyenne il y a deux ans à plus de vingt aujourd'hui et à demander l'avis d'une tierce personne. Ils consultent également beaucoup plus de banques avant d'en choisir une après avoir fait jouer la concurrence.
C'est en tous cas ce que révèle une enquête réalisée par le journal De Particulier à Particulier qui indique que désormais quelque 59,1% des acheteurs seraient aujourd'hui des primo-accédants contre 48,4% lors de la précédente enquête réalisée il y a deux ans.
Cet accroissement qui s'accompagne d'un rajeunissement des acquéreurs. Désormais, les 20-30 ans représentent 18,9% des accédants contre 16,4% lors de la précédente enquête qui se fonde sur les 3.884 questionnaires retournés.
La période est actuellement favorable à l'acquisition, l'écart entre un remboursement d'emprunt et un loyer n'ayant jamais été aussi favorable à l'accession à la propriété, relève l'enquête.
Si les acheteurs disposent de revenus plus importants, ils s'endettent davantage que par le passé. L'enquête met en avant un recul de l'apport personnel et une augmentation significative du recours au financement à 100%, y compris chez les cadres supérieurs et professions libérales dont l'apport personnel a pu s'effondrer avec les marchés financiers, explique De Particulier à Particulier.
Les employés, enseignants et ouvriers, plus prudents, ont quant à eux un apport, en proportion, plus important issu très souvent de plans d'épargne-logement.
Toutes catégories confondues, 18% des acquéreurs interrogés ont déclaré s'endetter sur une période supérieure à 20 ans et 19% indiquent avoir opté pour un financement intégral de leur acquisition contre 10% quatre ans auparavant.
Mais les prix élevés et un endettement important ont rendu les acquéreurs plus exigeants. Ils n'hésitent pas à multiplier les visites qui sont passées de douze en moyenne il y a deux ans à plus de vingt aujourd'hui et à demander l'avis d'une tierce personne. Ils consultent également beaucoup plus de banques avant d'en choisir une après avoir fait jouer la concurrence.