Selon le Premier ministre Turque, la Turquie est idéalement située pour participer à la reconstruction en Irak et compte remporter de nombreux contrats.
"Nous sommes le pays le mieux adapté tant pour la reconstruction politique que pour la reconstruction physique de l'Irak", a affirmé Recep Tayyip Erdogan lors d'un discours à un groupe d'industriels rapporté par l'AFP.
"Nous prendrons notre place dans le marché irakien. Nous faisons des efforts dans ce but", a-t-il ajouté.
Sur le front économique, la Turquie peut offrir une assistance bon marché, tant au niveau des matériaux que des transports, a estimé M. Erdogan.
"Les pays, tels la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, qui sont experts en matière financière devraient tirer profit de l'expérience et des coûts bas offerts par la Turquie", selon le Premier ministre.
Le gouvernement turc a organisé cette semaine une réunion de responsables des secteurs public et privé pour discuter de la reconstruction en Irak et a mis sur pied une commission pour coordonner leurs efforts.
Ankara cherche également à relancer le commerce bilatéral et compte notamment ouvrir des liaisons aériennes avec Bagdad et un second passage frontalier.
L'Irak était le premier partenaire commercial de la Turquie avant la guerre du Golfe en 1991 et la mise en place de sanctions internationales qui, selon le gouvernement, ont coûté des milliards de dollars à la Turquie.
"Nous prendrons notre place dans le marché irakien. Nous faisons des efforts dans ce but", a-t-il ajouté.
Sur le front économique, la Turquie peut offrir une assistance bon marché, tant au niveau des matériaux que des transports, a estimé M. Erdogan.
"Les pays, tels la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, qui sont experts en matière financière devraient tirer profit de l'expérience et des coûts bas offerts par la Turquie", selon le Premier ministre.
Le gouvernement turc a organisé cette semaine une réunion de responsables des secteurs public et privé pour discuter de la reconstruction en Irak et a mis sur pied une commission pour coordonner leurs efforts.
Ankara cherche également à relancer le commerce bilatéral et compte notamment ouvrir des liaisons aériennes avec Bagdad et un second passage frontalier.
L'Irak était le premier partenaire commercial de la Turquie avant la guerre du Golfe en 1991 et la mise en place de sanctions internationales qui, selon le gouvernement, ont coûté des milliards de dollars à la Turquie.
