La CGT, FO et la CFTC se sont opposés mercredi à laccord autorisant les enseignes de bricolage à ouvrir le dimanche dans le Val-dOise, signé quelques jours plus tôt par la CFDT, le Medef et la fédération des magasins de bricolage. Laccord est ainsi rendu caduc.
Trois syndicats ont signifié mercredi leur opposition à laccord autorisant le travail dominical dans les enseignes de bricolage du Val-d'Oise. Celui-ci, qui avait été signé le 25 juin par la CFDT, le Medef et la fédération des magasins de bricolage (FMB), permettait louverture le dimanche des enseignes de bricolage dans le département du Val-d'Oise, en contrepartie de l'obtention pour les salariés d'un autre jour de repos dans la semaine
Lors de la signature, la FMB avait indiqué que l'accord serait caduc s'il était contesté dans les quinze jours par une majorité de syndicats. Avec trois syndicats opposés sur cinq au total, laccord est donc annulé. «Il est hors de question de négocier sur le travail dominical», a déclaré à l'AFP Christian Debuire, secrétaire de FO dans le Val-d'Oise.
Selon les déclarations lors de la signature de laccord de Claire Beauvais, secrétaire générale de la FMB, lautorisation de travail le dimanche devait «apporter une réponse à une situation d'urgence mettant en cause la poursuite de l'activité de certaines enseignes et donc l'emploi de leurs salariés dans le Val-d'Oise». En outre, une proposition de loi sur le travail dominical du député UMP Richard Mallié, visant à étendre les dérogations, sera débattue à l'automne.
Lors de la signature, la FMB avait indiqué que l'accord serait caduc s'il était contesté dans les quinze jours par une majorité de syndicats. Avec trois syndicats opposés sur cinq au total, laccord est donc annulé. «Il est hors de question de négocier sur le travail dominical», a déclaré à l'AFP Christian Debuire, secrétaire de FO dans le Val-d'Oise.
Selon les déclarations lors de la signature de laccord de Claire Beauvais, secrétaire générale de la FMB, lautorisation de travail le dimanche devait «apporter une réponse à une situation d'urgence mettant en cause la poursuite de l'activité de certaines enseignes et donc l'emploi de leurs salariés dans le Val-d'Oise». En outre, une proposition de loi sur le travail dominical du député UMP Richard Mallié, visant à étendre les dérogations, sera débattue à l'automne.