Sur ce projet, trois murs doivent être construits. L'un d'eux, le M1, longe les voies SNCF après l'ouvrage Arago, sur le même modèle que le mur situé avant cet ouvrage, dont la construction avait été anticipée et réalisée par la SNCF. Pour les fondations, compte-tenu de l'emprise contrainte du terrain, le choix s'est porté sur la pose de micropieux, 120 au total, allant jusqu'à 27m de profondeur pour éviter l'affaissement du mur, traverser les carrières et se fonder en-dessous. Des garde-corps doivent également être posés pour protéger les caténaires se situant à proximité de l'aménagement.
Les murs M2 et M3, de l'autre côté de la voie, ont posé moins de contraintes, car non exposés à des problèmes concernant les carrières. Les fondations sont ainsi "superficielles".
Une partie de l'ouvrage Arago, sur lequel passe la RD131, doit aussi être démoli. Là encore, le projet de réaménagement de la RD914 étant ancien, cela avait été anticipé. Aussi, une partie de l'ouvrage construit par la SNCF était bien conçue pour être provisoire. La démolition s'effectue par demi-travée, pour que l'impact sur la circulation de la RD131 soit moins lourd.