Les fonds d'investissements PAI, Wendel et LBO France auraient tous les trois déposé une offre de rachat sur Cegelec, ancienne filiale d'Alstom spécialisée dans l'ingénierie.
Parmi ces offres, qui devaient être déposées avant 17H00 jeudi auprès de la banque conseil de Cegelec, Lehman Brothers, «eux semblent être très proches, dans un mouchoir de poche», a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Ces offres de rachat «sont toutes non engageantes et accompagnées de conditions. Elles vont être dépouillées dans la journée, au plus tard demain», a ajouté cette même source. Avant de poursuivre qu'elles «correspondent aux attentes des actionnaires notamment en termes financiers».
Le projet de cession prévoit l'ouverture de négociations exclusives avec l'un des candidats vers la fin du mois de décembre et le choix du repreneur à la fin du mois de janvier.
Rappelons qu'intéressés pendant un temps, les groupes Bouygues, Vinci, Suez et Eiffage ont finalement décidé de renoncer à ce rachat.
Cegelec est détenu depuis juillet 2001 par les sociétés d'investissement britannique Charterhouse Development Capital et française CDC Entreprises Capital à hauteur de 45% chacune, les dirigeants possédant les 10% restants. A cette époque, la base d'une valorisation était de 800 M'. Elle devrait aujourd'hui dépasser un milliard d'euros, y compris une dette inférieure à 500 millions d'euros.
Ces offres de rachat «sont toutes non engageantes et accompagnées de conditions. Elles vont être dépouillées dans la journée, au plus tard demain», a ajouté cette même source. Avant de poursuivre qu'elles «correspondent aux attentes des actionnaires notamment en termes financiers».
Le projet de cession prévoit l'ouverture de négociations exclusives avec l'un des candidats vers la fin du mois de décembre et le choix du repreneur à la fin du mois de janvier.
Rappelons qu'intéressés pendant un temps, les groupes Bouygues, Vinci, Suez et Eiffage ont finalement décidé de renoncer à ce rachat.
Cegelec est détenu depuis juillet 2001 par les sociétés d'investissement britannique Charterhouse Development Capital et française CDC Entreprises Capital à hauteur de 45% chacune, les dirigeants possédant les 10% restants. A cette époque, la base d'une valorisation était de 800 M'. Elle devrait aujourd'hui dépasser un milliard d'euros, y compris une dette inférieure à 500 millions d'euros.