Dans la galerie d'exposition permanente, aucune cloison ne marque de frontière entre les continents.
© Milena Chessa / Batiactu
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Une longue borne multimédia ondule dans la galerie. Elle a été baptisée «le serpent».
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La peau du serpent est constituée de cuir naturel (veau). Ce revêtement, qui couvre une surface de 6.500 m2, a été posé en un et demi par onze artisans de l'entreprise italienne Unifor.
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Les écrans multimédias, logés dans le corps du serpent, permettent d'en apprendre plus sur les oeuvres exposées.
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La façade côté rue de l'Université éclaire en partie des caissons de présentation inclinés.
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Les perforations des brise-soleil permettent d'atténuer la luminosité, pas la vue !
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Les vitrines, dépourvues de socles, ont des dimensions telles que le visiteur a l'impression de pouvoir toucher les objets. La technique (éclairage, ventilation) est entièrement dissimulée dans le plancher et le plafond.
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Fondues dans un mur imprimé de verdure, des boîtes de tailles différentes présentent de manière plus intime les objets.
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Certains objets sont présentés directement devant le rideau de verdure conçu avec les images de forêts fournies par le botaniste Patrick Blanc (créateur du mur végétal du bâtiment de l'administration).
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D'autres objets, dont la signification peut être sacrée, sont présentés de manière plus mystérieuse dans les boîtes aux parois revêtues de matériaux naturels.
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Les piliers de cette arche abritent à droite une vitrine d'exposition classique, et à gauche d'astucieux tiroirs verticaux. En les faisant coulisser, le visiteur ouvre comme un coffre fort à bijoux.
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Les instruments de musique, au lieu d'être conservés dans des réserves invisibles au public, ont été disposés dans un silo transparent. Ses parois émettent des sons.
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Les rails noirs qui découpent le sol servent à faire coulisser les vitres de protection.
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Patchwork de couleurs pour le revêtement de sol en linoléum.
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Le musée du quai Branly regorge de trésors à découvrir, tant au niveau de la muséographie que des collections.
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