L’indice des prix des travaux d’entretien-amélioration (Ipea) des logements a connu une hausse de 4,3% sur un an. L’augmentation varie selon les corps de métiers, entre 3,6% et 5,4%. Détail de l’indice.
Les prix des travaux d’entretien et d’amélioration de logements ont augmenté de 4,3% en un an. C’est ce qu’indique l’indice des prix des travaux d’entretien-amélioration (Ipea), qui a observé cette tendance entre les troisièmes trimestres 2006 et 2007. Pourtant, l’indice des coûts BT50 n’a augmenté que de 3,6% sur la même période. Il s’agit de sa hausse annuelle la plus faible depuis 2005.
L’augmentation des prix n’est pas la même selon les différentes familles de travaux. Dans le génie climatique, on observe une hausse de 5,4%, alors que la hausse dans les travaux de maçonnerie-béton armé-carrelage est de 3,7%. Les travaux de peinture ont augmenté de 3,6%, ceux de menuiserie métallique-serrurerie de 4,2% et les travaux de couverture-zinguerie de 4,8%.
L’Ipea mesure l’évolution des prix hors taxes pratiqués par les entreprises et artisans du secteur de la construction pour leurs travaux d’entretien et d’amélioration des logements. Il reflète les effets des coûts salariaux, du coût des matériaux, les marges ou encore de la productivité des entreprises, contrairement à l’indice BT50 qui ne prend en compte que l’évolution des coûts supportés par les entreprises et les artisans.
Voir l’indice par famille de travaux
L’augmentation des prix n’est pas la même selon les différentes familles de travaux. Dans le génie climatique, on observe une hausse de 5,4%, alors que la hausse dans les travaux de maçonnerie-béton armé-carrelage est de 3,7%. Les travaux de peinture ont augmenté de 3,6%, ceux de menuiserie métallique-serrurerie de 4,2% et les travaux de couverture-zinguerie de 4,8%.
L’Ipea mesure l’évolution des prix hors taxes pratiqués par les entreprises et artisans du secteur de la construction pour leurs travaux d’entretien et d’amélioration des logements. Il reflète les effets des coûts salariaux, du coût des matériaux, les marges ou encore de la productivité des entreprises, contrairement à l’indice BT50 qui ne prend en compte que l’évolution des coûts supportés par les entreprises et les artisans.
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