Comment intégrer, transcrire la parole, la culture Kanak dans une institution de la République ? Et comment réunir deux façons de penser, deux cultures aux antipodes ? Mais un seul peuple, un destin commun. Telles sont les deux principales questions auxquelles ont tenté de répondre les architectes.
"Nous nous sommes appuyés le thème passé-Avenir/Tradition-Modernité en reprenant le principe de l'allée centrale représentée par la coursive dans notre projet, poursuit l'architecte, Gilles Stangalino. Ce faisant, on y retrouve la salle du conseil municipal avec la salle des mariages au rez-de-chaussée, puis de chaque côté de la coursive se distribuent, au rez-de-chaussée et au niveau 1, les différents services de la mairie."
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Près de Toulouse, une halle s'inspire d'une canopée
