Selon la Dépêche du Midi qui publie des extraits d'un rapport de synthèse établi par Aéroport de Paris Ingénierie (ADPI), le projet d'un deuxième aéroport toulousain refait surface.
"Une étude conduite fin 2001 refait surface aujourd'hui après avoir été volontairement oubliée pour cause d'élections", résume le quotidien toulousain.
Selon la Dépêche du Midi, ce rapport, financé dans le cadre du contrat de plan Etat-région et établi pour le compte du conseil régional de Midi-Pyrénées et de la communauté d'agglomération du Grand Toulouse, met en concurrence 8 sites susceptibles d'accueillir la nouvelle plate-forme aéroportuaire de la région toulousaine.
En réalité, note le rapport, quatre sites sont réellement en concurrence: Monbéqui et Verdun-sur-Garonne en Tarn-et-Garonne d'une part, Fronton et Vacquiers en Haute-Garonne d'autre part.
Les sites de Mazères (Ariège), Rabastens (Tarn), Cintegabelle et Carbonne (Haute-Garonne) "ne semblent plus dans la course en raison de leurs forts handicaps et de leur éloignement", précise le quotidien.
La future plate-forme serait conçue pour accueillir 20 millions de passagers, soit 4 fois plus que l'aéroport actuel (5,24 millions de passagers en 2001).
Cela fait désormais deux décennies, rappelle le quotidien, que la question d'un 2ème aéroport toulousain nourrit le débat, la croissance du trafic aérien et le développement de Toulouse-Blagnac annonçant une saturation des installations à l'horizon 2020.
Selon la Dépêche du Midi, ce rapport, financé dans le cadre du contrat de plan Etat-région et établi pour le compte du conseil régional de Midi-Pyrénées et de la communauté d'agglomération du Grand Toulouse, met en concurrence 8 sites susceptibles d'accueillir la nouvelle plate-forme aéroportuaire de la région toulousaine.
En réalité, note le rapport, quatre sites sont réellement en concurrence: Monbéqui et Verdun-sur-Garonne en Tarn-et-Garonne d'une part, Fronton et Vacquiers en Haute-Garonne d'autre part.
Les sites de Mazères (Ariège), Rabastens (Tarn), Cintegabelle et Carbonne (Haute-Garonne) "ne semblent plus dans la course en raison de leurs forts handicaps et de leur éloignement", précise le quotidien.
La future plate-forme serait conçue pour accueillir 20 millions de passagers, soit 4 fois plus que l'aéroport actuel (5,24 millions de passagers en 2001).
Cela fait désormais deux décennies, rappelle le quotidien, que la question d'un 2ème aéroport toulousain nourrit le débat, la croissance du trafic aérien et le développement de Toulouse-Blagnac annonçant une saturation des installations à l'horizon 2020.