ETUDE. Selon un rapport sur les coûts de construction dans les plus grandes villes du monde, Paris maintient sa position dans le top 10 mondial. Découvrez ce classement.
Paris comme d'autres grandes villes conserve la même place dans le classement des plus chères en termes de coûts de construction pour 2017. Selon le rapport International Construction Costs 2017, publié ce lundi par Arcadis, entreprise de conseil et ingénierie de la conception, Paris reste à la 9e place, devant Vienne et derrière Francfort. Les auteurs de l'enquête expliquent : "Si nos coûts de construction restent élevés en raison notamment de la maturité de notre marché, il n'en demeure pas moins que Paris est une ville attractive qui investit. Le Grand Paris Express, Réinventer Paris, la rénovation du quartier Clichy Batignolles sont autant de projets innovants qui ancrent Paris dans la Ville du Futur".
Londres chute de deux places
Sur le podium, la ville de New York occupe une nouvelle fois la première fois, suivie par Hong Kong qui gagne une place par rapport à 2016, et par Genève qui gagne également une place et grimpe ainsi dans le top 3.
Londres en revanche dégringole de deux places par rapport à l'année précédente. Arcadis explique cela : "par les variations des taux de change mais aussi par le fait que le ralentissement de l'inflation dans les villes chinoises a impacté toutes les positions du classement". De la 5e à la 9e place, les villes n'ont pas changé par rapport à 2016. On trouve ainsi Macao (5e), Copenhague (6e), Stockholm (7e), Francfort (8e) et Paris (9e). Vienne gagne une place dans le classement et rentre ainsi dans ce top 10.
L'enquête constate que "chaque marché national impacte indirectement l'évolution de celui des autres pays. Si globalement les coûts de construction dans les villes restent élevés, en revanche "le ralentissement de la croissance mondiale (menée par la Chine et des pays émergents tels que le Brésil et l'Arabie Saoudite) souligne des transformations profondes qui impactent les marchés mondiaux de la construction", explique l'étude.
En un an, Londres est passée de la 2ème à la 4ème position. Pour les auteurs de l'enquête cela "s'explique par les variations des taux de change mais aussi par le fait que le ralentissement de l'inflation dans les villes chinoises a impacté toutes les positions du classement".
La DGCCRF s'appuie sur les signalements des acteurs pour repérer les éco-délinquants
1. New York (maintien de la position par rapport à 2016)
2. Hong Kong (+1 place par rapport à 2016)
3. Genève (+1 place par rapport à 2016)
4. Londres (-2 place par rapport à 2016)
5. Macao (maintien de la position par rapport à 2016)
6. Copenhague (maintien de la position par rapport à 2016)
7. Stockholm (maintien de la position par rapport à 2016)
8. Francfort (maintien de la position par rapport à 2016)
9. Paris (maintien de la position par rapport à 2016)
10. Vienne (+1 place par rapport à 2016)