Parmi les grands dossiers traités à l'occasion du séminaire ministériel annuel franco-espagnol, les 11 et 12 juillet à Toulouse, le dossier du train à grande vitesse (TGV) devant relier la métropole catalane à Perpignan figurera au premier plan.
Quatre ministres espagnols, ceux de l'Intérieur, Mariano Rajoy, de la Justice, Angel Acebes, des Affaires étrangères, Josep Piqué, et du Développement (Transports et Communications), Francisco Alvarez Cascos, ont rendez-vous au cours de ce séminaire avec leurs homologues français.
Au menu : les thèmes habituels de la lutte antiterroriste ou contre l'immigration clandestine, la coopération policière entre les deux pays à l'occasion du sommet européen de Barcelone, mais également le dossier du financement du TGV qui doit relier en 2005 Barcelone à Perpignan, dans le sud de la France.
Les deux gouvernements doivent s'entendre sur la construction d'un tronçon international de 45 km, dont 8 km en tunnel sous le Perthus, entre Perpignan et la ville frontalière espagnole de Figueras.
Madrid et Paris ont dores et déjà envoyé au Journal officiel des Communautés européennes un avis de concours pour la réalisation de ce tronçon, et le chantier devrait être adjugé d'ici la fin de l'année 2001.
Cependant, les deux pays doivent encore s'entendre sur le financement de cette ligne à grande vitesse, dont les plus gros travaux doivent se réaliser sur le sol français. L'Espagne souhaite que chaque pays paye pour la portion de travaux se déroulant sur son territoire, tandis que la France soutient que Madrid et Paris doivent régler chacun 50% de la facture, qui devrait atteindre quelque 714 millions d'euros au total.
Au menu : les thèmes habituels de la lutte antiterroriste ou contre l'immigration clandestine, la coopération policière entre les deux pays à l'occasion du sommet européen de Barcelone, mais également le dossier du financement du TGV qui doit relier en 2005 Barcelone à Perpignan, dans le sud de la France.
Les deux gouvernements doivent s'entendre sur la construction d'un tronçon international de 45 km, dont 8 km en tunnel sous le Perthus, entre Perpignan et la ville frontalière espagnole de Figueras.
Madrid et Paris ont dores et déjà envoyé au Journal officiel des Communautés européennes un avis de concours pour la réalisation de ce tronçon, et le chantier devrait être adjugé d'ici la fin de l'année 2001.
Cependant, les deux pays doivent encore s'entendre sur le financement de cette ligne à grande vitesse, dont les plus gros travaux doivent se réaliser sur le sol français. L'Espagne souhaite que chaque pays paye pour la portion de travaux se déroulant sur son territoire, tandis que la France soutient que Madrid et Paris doivent régler chacun 50% de la facture, qui devrait atteindre quelque 714 millions d'euros au total.