Projet primé : Antoine Lacaze, J. Vever, P. Cabouret (école nationale supérieure d'architecture de Versailles)
Le projet de l'équipe d'Antoine Lacaze «exploite le principe de la verticalité pour alléger la halle et créer un signal urbain». Le projet représente une double tour implantée dans le prolongement de la passerelle Simone-de-Beauvoir, et une volumétrie différenciée des bâtiments «qui permet de répondre à une volonté de monumentalité et d'intégration dans le tissu urbain», commente l'équipe.
Projet primé : Clément Forvieux (école nationale supérieure d'architecture de Paris-Val de Seine)
Le projet de Clément Forvieux présente un TGI répartit entre une halle et un couple de tours dont l'interstice est une grande verrière «organisant un véritable spectacle sur la ville». Une couverture végétale unifie le bâtiment historique et les nouvelles constructions. Une promenade longitudinale est aménagée est aménagée en bord de dalle, en cohérence avec les espaces verts jusqu'à la gare d'Austerlitz.
Projet primé : Cédric Thomas (école nationale supérieure d'architecture de Paris-Belleville)
Le projet de Cédric Thomas présente un ensemble bâti destiné au TGI qui associe la monumentalité verticale d'un édifice, l'horizontalité d'un bâtiment pont, et la conversion intégrale de la halle. La composition raccorde ainsi les deux niveaux du site depuis la dalle jusqu'au bâtiment du ministère des Finances. «Ce dispositif s'attache à rendre visible l'activité judiciaire depuis l'espace urbain», commente l'étudiant.
Projet primé : Jean-Marc Pitet, D. Levain, A. Brochard, R. Pereira, J. Debois (Ecole nationale supérieure d'architecture de Paris-Belleville)
Le projet de l'équipe de Jean-Marc Pitet présente «une composition qui s'articule autour d'une grande respiration paysagère en pente douce qui assure la liaison entre les deux quartiers». Une «tour mince» signale la présence du Palais de justice, tandis que la halle Freyssinet met en valeur son volume intérieur.
Projet primé : Yann Martin (école nationale supérieure d'architecture de Paris-Malaquais)
Le projet de Yann Martin est «un parti pris paysager, excluant toute occupation que celle du TGI». Un vaste parc, couvrant la dalle et la partie en plein sol, intègre la halle semi enterrée. Création d'une promenade de toiture. Le TGI s'installe dans les nefs et dans une tour de 38 étages axée dans l'ouverture de la BNF.
Projet mentionné : Faraz Soleymani, S. Mesdaghi, M. Feizabadi, S. Mostofi Mashad (Université islamique d'Azad, département d'architecture, Iran)
«L'architecture doit signifier, par la visibilité en hauteur, la nature du pouvoir judiciaire et le sens de l'incarcération», raconte l'équipe. Un concept de répartition est imaginé entre privé et public dans la ville par la mobilité du bâti privé «soft» autour du «hard» stable des fonctions publiques.
«L'architecture doit signifier, par la visibilité en hauteur, la nature du pouvoir judiciaire et le sens de l'incarcération», raconte l'équipe. Un concept de répartition est imaginé entre privé et public dans la ville par la mobilité du bâti privé «soft» autour du «hard» stable des fonctions publiques.
Projet mentionné : Julien Syras (Ecole nationale supérieure d'architecture de Nantes)
«Le projet urbain manifeste une intention de grande perméabilité», commente son auteur. Cette porosité est formalisée par l'orientation des logements en peigne sur l'avenue de France, par l'aménagement d'espaces verts sur dalle. Le parti pris architectural traduit une image apaisée de la justice à travers la généralisation des formes courbes.
«Le projet urbain manifeste une intention de grande perméabilité», commente son auteur. Cette porosité est formalisée par l'orientation des logements en peigne sur l'avenue de France, par l'aménagement d'espaces verts sur dalle. Le parti pris architectural traduit une image apaisée de la justice à travers la généralisation des formes courbes.