Cest du moins ce quaffirme le Pdg de Vinci, Antoine Zacharias, dont la filiale GTM a participé à la construction du bâtiment.
Au cours dune conférence de presse, Antoine Zacharias s'est déclaré persuadé de la possibilité de réparer sans tout raser le terminal 2E de l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle.
"Nous sommes convaincus que si nous nous y prenons bien, nous pouvons parfaitement réparer le terminal et le remettre en circulation. Cela me paraît net et sans bavure", a affirmé M. Zacharias.
L'opinion du patron de Vinci rejoint celle de celui du groupe de construction Eiffage, Jean-François Roverato, qui avait également participé à la construction du terminal 2E.
"Il me semble raisonnablement évident qu'il serait dommage de tout raser pour tout recommencer", avait déclaré M. Roverato fin février.
L'hypothèse d'une destruction/reconstruction a été régulièrement évoquée, mais la décision finale en reviendra au gestionnaire de la plateforme aéroportuaire Aéroports de Paris (ADP).
"Nous sommes convaincus que si nous nous y prenons bien, nous pouvons parfaitement réparer le terminal et le remettre en circulation. Cela me paraît net et sans bavure", a affirmé M. Zacharias.
L'opinion du patron de Vinci rejoint celle de celui du groupe de construction Eiffage, Jean-François Roverato, qui avait également participé à la construction du terminal 2E.
"Il me semble raisonnablement évident qu'il serait dommage de tout raser pour tout recommencer", avait déclaré M. Roverato fin février.
L'hypothèse d'une destruction/reconstruction a été régulièrement évoquée, mais la décision finale en reviendra au gestionnaire de la plateforme aéroportuaire Aéroports de Paris (ADP).