Le «télectroscope», une sorte de tunnel géant, interpelle les passants de New York et de Londres depuis vendredi dernier. Cette uvre de lartiste britannique Paul St-Georges permet aux anglais et aux américains de communiquer en temps réel via une liaison vidéo. Pourtant leffet doptique pourrait laisser croire à un véritable tunnel transatlantique.
Installé depuis vendredi dernier à Londres et à New-York, le «télectroscope» réalisé par lartiste britannique Paul St-Georges intrigue les Anglais et Américains.
En effet, les passants des deux pays peuvent se voir à travers un tunnel en forme de serpent de cuivre. Mais ce nest pas tout, à travers de vastes hublots, ils peuvent communiquer en temps réel grâce à une liaison vidéo à haute définition. Pourtant lillusion est là ! On pourrait croire à un véritable tunnel reliant l'Amérique à la Grande-Bretagne. Interrogé par lAFP sur le «mystère» du «télectroscope», Paul St-Georges, admirateur des uvres de Jules Verne ou H.G. Wells, reste évasif et refuse d'admettre que le tunnel n'existe pas. «Il y a des tunnels sous Paris, sous Londres, je veux que les gens croient que le tunnel existe», souligne-t-il. «C'est un jeu plein d'imprévu et de rêve, notamment grâce à l'absence de son, et aussi parce qu'il y a des acteurs des deux côtés», insiste-t-il.
En effet, les passants des deux pays peuvent se voir à travers un tunnel en forme de serpent de cuivre. Mais ce nest pas tout, à travers de vastes hublots, ils peuvent communiquer en temps réel grâce à une liaison vidéo à haute définition. Pourtant lillusion est là ! On pourrait croire à un véritable tunnel reliant l'Amérique à la Grande-Bretagne. Interrogé par lAFP sur le «mystère» du «télectroscope», Paul St-Georges, admirateur des uvres de Jules Verne ou H.G. Wells, reste évasif et refuse d'admettre que le tunnel n'existe pas. «Il y a des tunnels sous Paris, sous Londres, je veux que les gens croient que le tunnel existe», souligne-t-il. «C'est un jeu plein d'imprévu et de rêve, notamment grâce à l'absence de son, et aussi parce qu'il y a des acteurs des deux côtés», insiste-t-il.