Le premier Ministre a mis fin à lavalanche de nouvelles taxes «vertes» annoncées par léquipe de Jean-Louis Borloo.
«Il ny a pas darbitrage. Il ny aura pas de nouvelles taxes, pas de taxe pique-nique, ni dextension du bonus-malus dans le Grenelle 1. Cest clair», a déclaré François Fillon.
Le chef du gouvernement a mis fin à la cacophonie qui régnait depuis quelques jours autour de la communication du ministère de lEcologie. Et a déclaré quil ny aurait pas de nouvelles taxes dans le Grenelle 1. Vendredi, Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet étaient convoqués par Nicolas Sarkozy, pour ce qui sannonçait comme «un recadrage» selon Libération.
La mise au point du premier Ministre sonne comme un désaveu pour son ministre de lEcologie, qui tentait dobtenir de sa part des arbitrages en faveur des taxes vertes : «Il y a eu un peu de précipitation dans la communication. Ce nest pas très responsable. ( ) Il y a des bagarres, des discussions, mais les décisions nont pas été prises». Il faut dire aussi que ces taxes vertes risquent de coûter très cher, en cette période de crise de la croissance et financière.
Pour sa part, le principe du bonus-malus ne serait pas remis en cause, mais le gouvernement tente déjà dévaluer limpact de celui appliqué dans lautomobile, qui «donne satisfaction mais qui coûte un peu», selon François Fillon. Programmé au printemps 2009, le Grenelle 2 devrait voir remis au goût du jour ces nouvelles taxes vertes, a laissé entendre le premier Ministre.
Lire aussi.
Le chef du gouvernement a mis fin à la cacophonie qui régnait depuis quelques jours autour de la communication du ministère de lEcologie. Et a déclaré quil ny aurait pas de nouvelles taxes dans le Grenelle 1. Vendredi, Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet étaient convoqués par Nicolas Sarkozy, pour ce qui sannonçait comme «un recadrage» selon Libération.
La mise au point du premier Ministre sonne comme un désaveu pour son ministre de lEcologie, qui tentait dobtenir de sa part des arbitrages en faveur des taxes vertes : «Il y a eu un peu de précipitation dans la communication. Ce nest pas très responsable. ( ) Il y a des bagarres, des discussions, mais les décisions nont pas été prises». Il faut dire aussi que ces taxes vertes risquent de coûter très cher, en cette période de crise de la croissance et financière.
Pour sa part, le principe du bonus-malus ne serait pas remis en cause, mais le gouvernement tente déjà dévaluer limpact de celui appliqué dans lautomobile, qui «donne satisfaction mais qui coûte un peu», selon François Fillon. Programmé au printemps 2009, le Grenelle 2 devrait voir remis au goût du jour ces nouvelles taxes vertes, a laissé entendre le premier Ministre.
Lire aussi.