Filiale de Schneider depuis août 2003, l'entreprise scandinave TAC compte devenir "le leader français des automatismes du bâtiment d'ici 2007".
C'est une sorte de déclaration de guerre que viennent de lancer les dirigeants de Schneider Electric à l'encontre de Siemens Building Technology, Johnson Controls ou Honeywell, les principaux leader de ce marché.
"D'ici 2007, nous comptons occuper la place de leader grâce à la forte demande des clients en matière de confort, sécurité, flexibilité,optimisation des investissements (...)" ont-t-ils expliqué lors d'une conférence de presse. Le groupe espère en effet détenir d'ici trois ans 20% du marché français, estimé à 300 millions d'euros. A l'échelle mondiale, ce marché représente 11 milliards d'euros et est en croissance de 6% par an, selon le communiqué.
Tout commence en août 2003, lorsque Schneider Electric acquiert le scandinave TAC, spécialiste mondial des automatismes du bâtiment (régulation, supervision et contrôle, systèmes de sécurité, alarme anti-intrusion, contrôle d'accès, systèmes de circuits vidéo fermés) et des solutions de gestion de l'énergie.
L'année suivante, TAC et Andover Controls fusionnent à l'issue de l'acquisition de Andover Controls pour former une entreprise employant 2.700 salariés et réalisant un chiffre d'affaires d'environ 500 millions d'euros. Le groupe prétend disposer aujourd'hui de l'offre de systèmes dits "ouverts ", la plus large du marché.
TAC dispose déjà de sérieuses références en France. Pour l'hôpital d'Argenteuil (20 bâtiments, 80.000 m2 de surface chauffée, 1000 lits), l'industriel a mis en place un système pour contrôler et gérer les fonctions clés comme la climatisation, la chaufferie, la détection incendie, la régulation de la consommation électrique et la sécurité (50 portes contrôlées et 30 caméras vidéos).
Dans 42 bâtiments parisiens de France Telecom, TAC a installé un système de contrôle à distance pour l'ensemble des bâtiments dans le but de réduire notamment de 30 à 40% la consommation d'énergie.
Enfin, pour le nouveau site du pont du Gard, TAC a installé un logiciel de gestion à distance pour contrôler l'ensemble des équipements et assurer le traitement climatique d'un musée grâce à un système permettant de respecter la conservation des oeuvres.
Les produits, logiciels et services seront vendus et supportés par une entité dédiée de spécialistes au sein de Schneider Electric France a expliqué le groupe.
"D'ici 2007, nous comptons occuper la place de leader grâce à la forte demande des clients en matière de confort, sécurité, flexibilité,optimisation des investissements (...)" ont-t-ils expliqué lors d'une conférence de presse. Le groupe espère en effet détenir d'ici trois ans 20% du marché français, estimé à 300 millions d'euros. A l'échelle mondiale, ce marché représente 11 milliards d'euros et est en croissance de 6% par an, selon le communiqué.
Tout commence en août 2003, lorsque Schneider Electric acquiert le scandinave TAC, spécialiste mondial des automatismes du bâtiment (régulation, supervision et contrôle, systèmes de sécurité, alarme anti-intrusion, contrôle d'accès, systèmes de circuits vidéo fermés) et des solutions de gestion de l'énergie.
L'année suivante, TAC et Andover Controls fusionnent à l'issue de l'acquisition de Andover Controls pour former une entreprise employant 2.700 salariés et réalisant un chiffre d'affaires d'environ 500 millions d'euros. Le groupe prétend disposer aujourd'hui de l'offre de systèmes dits "ouverts ", la plus large du marché.
TAC dispose déjà de sérieuses références en France. Pour l'hôpital d'Argenteuil (20 bâtiments, 80.000 m2 de surface chauffée, 1000 lits), l'industriel a mis en place un système pour contrôler et gérer les fonctions clés comme la climatisation, la chaufferie, la détection incendie, la régulation de la consommation électrique et la sécurité (50 portes contrôlées et 30 caméras vidéos).
Dans 42 bâtiments parisiens de France Telecom, TAC a installé un système de contrôle à distance pour l'ensemble des bâtiments dans le but de réduire notamment de 30 à 40% la consommation d'énergie.
Enfin, pour le nouveau site du pont du Gard, TAC a installé un logiciel de gestion à distance pour contrôler l'ensemble des équipements et assurer le traitement climatique d'un musée grâce à un système permettant de respecter la conservation des oeuvres.
Les produits, logiciels et services seront vendus et supportés par une entité dédiée de spécialistes au sein de Schneider Electric France a expliqué le groupe.