Pour la rénovation de son restaurant à sushi à Londres, Caroline Bennett a fait appel à l'architecte japonais Yusaku Kaneshiro pour sa connaissance du programme et son utilisation des petits espaces : ici, des compartiments en noyer d'Amérique.
Yusaku Kaneshiro voulait que les clients du restaurant Moshi Moshi puissent venir y manger en vivant, chaque fois, une nouvelle expérience, en s'installant une première fois au tapis roulant, puis dans une salle intime et enfin dans un ensemble de convivialité plus important.
Les compartiments du nouveau restaurant sont conçus pour plonger les consommateurs dans une atmosphère plus intime. Le choix du bois a été problématique du point de vue de l'approvisionnement. M. Kaneshiro souhaitait au départ utiliser du bubinga, essence populaire au Japon mais rare et coûteuse à Londres.
Les sous-traitants Tienda de Grantham, société d'agencement de magasins reconnue, qui se sont rendus au Japon pendant la phase de conception, ont proposé d'autres essences parmi lesquelles le noyer d'Amérique que M. Kaneshiro a choisi et utilisé sous forme de bois massif et de bois de placage tranché. Les surfaces ont été finies avec deux couches de laque.
Pour ce designer, la fonction vient avant la forme. Le restaurant doit donc fonctionner pour le client sans remettre en cause son style et sa personnalité : banquettes et références marquées aux jardins japonais. Pour Caroline Bennett, le succès final est en partie dû à la maîtrise du budget rendue possible par l'utilisation des matériaux par Yusaku Kaneshiro.
Yusaku Kaneshiro, qui a créé sa société Zokei Syudan en 2000 et a marqué de son empreinte tout Tokyo, a également travaillé pour des restaurants de Yokohama, d'Hokkaido et d'Akita. Il tient à rappeler dans ses créations le passé du Japon, avec des matériaux traditionnels, au lieu de copier les tendances des architectes étrangers.
Les compartiments du nouveau restaurant sont conçus pour plonger les consommateurs dans une atmosphère plus intime. Le choix du bois a été problématique du point de vue de l'approvisionnement. M. Kaneshiro souhaitait au départ utiliser du bubinga, essence populaire au Japon mais rare et coûteuse à Londres.
Les sous-traitants Tienda de Grantham, société d'agencement de magasins reconnue, qui se sont rendus au Japon pendant la phase de conception, ont proposé d'autres essences parmi lesquelles le noyer d'Amérique que M. Kaneshiro a choisi et utilisé sous forme de bois massif et de bois de placage tranché. Les surfaces ont été finies avec deux couches de laque.
Pour ce designer, la fonction vient avant la forme. Le restaurant doit donc fonctionner pour le client sans remettre en cause son style et sa personnalité : banquettes et références marquées aux jardins japonais. Pour Caroline Bennett, le succès final est en partie dû à la maîtrise du budget rendue possible par l'utilisation des matériaux par Yusaku Kaneshiro.
Yusaku Kaneshiro, qui a créé sa société Zokei Syudan en 2000 et a marqué de son empreinte tout Tokyo, a également travaillé pour des restaurants de Yokohama, d'Hokkaido et d'Akita. Il tient à rappeler dans ses créations le passé du Japon, avec des matériaux traditionnels, au lieu de copier les tendances des architectes étrangers.