Suite à la crise qui touche actuellement le secteur immobilier, le promoteur Kaufman & Broad, vient d'annoncer qu'il allait supprimer 166 postes. Cette décision fait partie d'un plan de sauvegarde de l'emploi.
Dans le cadre d'un plan de sauvegarde de l'emploi, le promoteur immobilier Kaufman & Broad a décidé de supprimer 166 emplois.
Le groupe a annoncé que différentes mesures seraient prises sur la fin 2008 et le début de l'année 2009. Sur les quatorze agences du groupe, deux fermeront leurs portes en 2010, celle de Lille et de Strasbourg. «Les suppressions de postes concernent moins de 14% des 811 personnes du groupe contre 40% du total lors de la précédente crise de 1990, mesure qui nous avait permis d'être le premier promoteur à rebondir et à sortir de la crise», a tenu à souligner, Guy Nafilyan, Pdg de Kaufman and Broad. Au mois de juin dernier, le promoteur avait enregistré une baisse de 71,3% de son bénéfice net sur la première moitié de son exercice (clos fin mai), atteignant 11,7 millions d'euros.
Confronté à la crise, Guy Nafilyan a revu certaines ambitions à la baisse : «Depuis le début de l'année nous avons renégocié les prix du foncier déjà acquis, revu nos coûts de construction et nos frais fixes avant de décider que sur les 155 opérations que nous avions prévues de lancer en 2008, nous n'en réaliserions que la moitié».
Le groupe a annoncé que différentes mesures seraient prises sur la fin 2008 et le début de l'année 2009. Sur les quatorze agences du groupe, deux fermeront leurs portes en 2010, celle de Lille et de Strasbourg. «Les suppressions de postes concernent moins de 14% des 811 personnes du groupe contre 40% du total lors de la précédente crise de 1990, mesure qui nous avait permis d'être le premier promoteur à rebondir et à sortir de la crise», a tenu à souligner, Guy Nafilyan, Pdg de Kaufman and Broad. Au mois de juin dernier, le promoteur avait enregistré une baisse de 71,3% de son bénéfice net sur la première moitié de son exercice (clos fin mai), atteignant 11,7 millions d'euros.
Confronté à la crise, Guy Nafilyan a revu certaines ambitions à la baisse : «Depuis le début de l'année nous avons renégocié les prix du foncier déjà acquis, revu nos coûts de construction et nos frais fixes avant de décider que sur les 155 opérations que nous avions prévues de lancer en 2008, nous n'en réaliserions que la moitié».
