Après la mort de l’ingénieur Pierre Nowacki, tué dans un double attentat dimanche dernier, l’entreprise française de BTP Razel a rappelé en France les trois autres Français qui travaillaient sur le même chantier.
"Nous venons de décider que les trois autres Français qui travaillaient sur le chantier prendraient aujourd'hui même l'avion pour Paris" a expliqué l'entreprise Razel en charge d’un chantier de réparation du tunnel ferroviaire d'Ammal à Beni-Amrane (50 km à l'est d'Alger), par le biais de son directeur de la communication Jean-Marie Sifre.
M. Sifre a également ajouté : « « Nous ferons avec eux le point de la situation et nous verrons si nous pourrons les renvoyer en Algérie. Pendant un certain temps, le chantier peut fonctionner sans personnel français »
Razel craint des représailles après le décès de l’ingénieur français Pierre Nowacki, 57 ans, qui a été tué dimanche dernier à Lakhdaria, à l’est d'Alger. Une bombe placée à la sortie du chantier a été actionnée au passage de sa voiture tuant Pierre Nowacki et son chauffeur sur le coup. Trente minutes plus tard, une deuxième explosion visant les secours et l’escorte de l’ingénieur français a fait onze morts.
M. Sifre a également ajouté : « « Nous ferons avec eux le point de la situation et nous verrons si nous pourrons les renvoyer en Algérie. Pendant un certain temps, le chantier peut fonctionner sans personnel français »
Razel craint des représailles après le décès de l’ingénieur français Pierre Nowacki, 57 ans, qui a été tué dimanche dernier à Lakhdaria, à l’est d'Alger. Une bombe placée à la sortie du chantier a été actionnée au passage de sa voiture tuant Pierre Nowacki et son chauffeur sur le coup. Trente minutes plus tard, une deuxième explosion visant les secours et l’escorte de l’ingénieur français a fait onze morts.
