Dans une lettre adressée à Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture et de la Communication, la ville de Strasbourg (Bas-Rhin) a dénoncé le manque de moyens alloués par lEtat à la rénovation de sa cathédrale.
Dans une lettre au ministre de la Culture et de la Communication, le maire de la ville de Strasbourg explique que « la cathédrale de Strasbourg, propriété de lEtat depuis 1789, est (
) un symbole majeur pour la ville » et cest « avec regret que nous constatons depuis quelques années un appauvrissement croissant de lengagement de lEtat sur ce bâtiment ».
Strasbourg regrette « la suspension sine die en 2006 de la dernière tranche de travaux pilotés par lEtat sur les contreforts nord », ainsi que « labsence de travaux dentretien de la part de lEtat pour lannée 2005 et les perspectives très modestes pour 2006 ». La mairie souligne également sa crainte sur « des dégradations irréversibles ( ) sur cet édifice quil appartient à tous de préserver ».
Estimant avoir « rempli ses missions » sur la cathédrale, la municipalité souhaite « poursuivre (son) effort » et désire « connaître la position du propriétaire du bâtiment », à savoir lEtat.
La lettre adressée à Renaud Donnedieu de Vabres souligne dautre part les risques « dun désengagement de lEtat pour les entreprises » dans un secteur dactivités où « la main duvre de très haute qualité et les savoir-faire » contribuent « à la mise en valeur du patrimoine français ».
Strasbourg regrette « la suspension sine die en 2006 de la dernière tranche de travaux pilotés par lEtat sur les contreforts nord », ainsi que « labsence de travaux dentretien de la part de lEtat pour lannée 2005 et les perspectives très modestes pour 2006 ». La mairie souligne également sa crainte sur « des dégradations irréversibles ( ) sur cet édifice quil appartient à tous de préserver ».
Estimant avoir « rempli ses missions » sur la cathédrale, la municipalité souhaite « poursuivre (son) effort » et désire « connaître la position du propriétaire du bâtiment », à savoir lEtat.
La lettre adressée à Renaud Donnedieu de Vabres souligne dautre part les risques « dun désengagement de lEtat pour les entreprises » dans un secteur dactivités où « la main duvre de très haute qualité et les savoir-faire » contribuent « à la mise en valeur du patrimoine français ».