Techniquement, la construction a également posé un certain nombre de difficultés techniques à résoudre. Pour les fondations, par exemple, 150 pieux ont été descendus dans le terrain - préalablement dépollué - à 15 mètres de profondeur pour soutenir le bâtiment. Les volumes les plus bas ont été réalisés en béton, tandis que les plus élevés ont fait appel à l'acier. "Le bâtiment paraît simple, comme des Kapla empilés, mais les intersections de ces volumes sont complexes et ont posé quelques soucis aux ingénieurs", fait valoir Gaétan Gatelier, responsable du service construction de l'agglomération. Une solution poutres-voiles a été choisie, soutenant une charpente métallique de grandes dimensions. Des retards ont été observés, liés à des problèmes de planning d'entreprises sur le chantier, à des modifications ou des erreurs, classiques sur ce type d'opération, la maîtrise d'ouvrage souligne que le budget a été respecté.

actioncl