Le groupe Kärcher travaille actuellement sur le projet de nettoyage du Palais de Chaillot avec le souci de préserver ce lieu dans lequel réside à présent la Cité de larchitecture et du patrimoine. Et pour poursuivre cet objectif de respect du bâtiment existant, cest un gommage qui a été choisi. Démonstration de cette technique composée de poudre abrasive.
Après les Colosses de Memnon en Egypte ou encore le Mont Rushmore aux Etats-Unis, le mécénat culturel du groupe Kärcher se poursuit avec le projet de nettoyage du Palais de Chaillot à Paris. Et Michel Clément, directeur de larchitecture et du patrimoine au sein du ministère de la Culture et de la Communication, parle ici de cette nouvelle variété de «mécénat dit de compétence». Au lieu de leau, cest un gommage qui est préconisé pour relever «ce défi», comme la déclaré Dieter Grajer, directeur général de Kärcher Groupe.
Technique
Le projet reste pour linstant à sa phase de test, lessentiel étant de trouver la technique de nettoyage optimale. Toutefois, lidée est de partir sur un gommage de particules à basse pression, composé de poudre abrasive projeté sur les façades avec de lair comprimé. La granulation de la poudre est extrêmement fine, entre 100 et 200 micromètres. Il sagit de farines de pierre et la pression utilisée est dune à trois barres. La technicité tiendra compte de la qualité de la pierre, différente dune façade à lautre concernant le Palais de Chaillot. Il nest pas question dutiliser de leau afin déviter tout choc thermique sur la pierre, mais aussi, à terme le risque de décollement engendré par labsorption de leau par la pierre. Le budget et la durée du chantier restent encore indéterminés.
Cette restauration du Palais de Chaillot reste avant tout «un travail de coopération avec les spécialistes» afin doptimiser le meilleur diagnostic possible, précise Dieter Grajer. Le mécénat culturel permet aussi au groupe Kärcher délargir son savoir-faire et daméliorer ses produits. Si le projet se situe pour linstant dans sa phase expérimentale, la société partenaire des Journées européennes du patrimoine a procédé le week-end dernier, à une phase de démonstration pour faire découvrir ce système de nettoyage au grand public. «Une action permettant de démocratiser ce savoir et de le partager avec le public», précise Patrice Anderouard, porte-parole de Kärcher France et directeur du département Grand Public.
Visite avant travaux
Technique
Le projet reste pour linstant à sa phase de test, lessentiel étant de trouver la technique de nettoyage optimale. Toutefois, lidée est de partir sur un gommage de particules à basse pression, composé de poudre abrasive projeté sur les façades avec de lair comprimé. La granulation de la poudre est extrêmement fine, entre 100 et 200 micromètres. Il sagit de farines de pierre et la pression utilisée est dune à trois barres. La technicité tiendra compte de la qualité de la pierre, différente dune façade à lautre concernant le Palais de Chaillot. Il nest pas question dutiliser de leau afin déviter tout choc thermique sur la pierre, mais aussi, à terme le risque de décollement engendré par labsorption de leau par la pierre. Le budget et la durée du chantier restent encore indéterminés.
Cette restauration du Palais de Chaillot reste avant tout «un travail de coopération avec les spécialistes» afin doptimiser le meilleur diagnostic possible, précise Dieter Grajer. Le mécénat culturel permet aussi au groupe Kärcher délargir son savoir-faire et daméliorer ses produits. Si le projet se situe pour linstant dans sa phase expérimentale, la société partenaire des Journées européennes du patrimoine a procédé le week-end dernier, à une phase de démonstration pour faire découvrir ce système de nettoyage au grand public. «Une action permettant de démocratiser ce savoir et de le partager avec le public», précise Patrice Anderouard, porte-parole de Kärcher France et directeur du département Grand Public.
Visite avant travaux