Avec un résultat net en recul de 47,4% et un résultat courant en hausse de 48,3%, la foncière fondée en 1879 profite peu de son recentrage sur le tertiaire.
Le Conseil d'administration, réunit le 31 janvier sous la présidence d'Yves Mansion (photo) a arrêté les comptes de l'exercice 2002, qui traduisent une nouvelle forte hausse des résultats courants. Le groupe, leader sur le marché de l'immobilier de bureau, avec un patrimoine de près de 2,5 milliards d'euros centré sur le Quartier Central des Affaires, à Paris, annonce un chiffre d'affaires de 174,6 millions d'euros, en hausse de 20,5%.
Pour le groupe, l'année 2002 a été marquée par " un travail approfondi sur l'actif comme sur le passif ", avec pour le premier point la poursuite de la restructuration du porte-feuille. SFL a ainsi acquis, en juin 2002, en partenariat à 50%, 6 immeubles de bureaux et une galerie marchande, 25 étages de la tour Areva, en joint-venture avec TIAA. Le groupe a également réussit la cession d'immeubles d'habitation en bloc ou par appartements et le dénouement du partenariat avec Grosvenor.
En ce qui concerne le passif, le groupe annonce que " la maturité de la dette passe de 4,5 ans, au 1er janvier, à 6,6 ans, au 31 décembre 2002 ", grâce notamment au refinancement de " Village Victor Hugo " et au placement privé sur le marché obligataire nord-américain de 125 millions de dollars.
En revanche, le résultat net est en perte de vitesse, avec une baisse de 47,4% à 34,4 millions d'euros, par rapport à l'année 2001 où le résultat net avait été dopé par un bénéfice exceptionnel de 64,5 millions d'euros.
La progression du résultat d'exploitation s'explique par " la part croissante de l'immobilier de commercial dans le portefeuille et le maintien de taux d'occupation élevés ", a commenté la société, lundi 3 février.
Le Conseil d'Administration proposera à l'Assemblée Générale qui se tiendra le 25 avril le versement d'un dividende par action de 1,20 euros, hors avoir fiscal, soit une augmentation de 20% par rapport à l'exercice précédent. L'AG sera également saisie de l'éventualité de l'option pour le nouveau régime fiscal des Sociétés d'Investissement Immobilier Cotées publié dans la loi de finance 2003.
Pour le groupe, l'année 2002 a été marquée par " un travail approfondi sur l'actif comme sur le passif ", avec pour le premier point la poursuite de la restructuration du porte-feuille. SFL a ainsi acquis, en juin 2002, en partenariat à 50%, 6 immeubles de bureaux et une galerie marchande, 25 étages de la tour Areva, en joint-venture avec TIAA. Le groupe a également réussit la cession d'immeubles d'habitation en bloc ou par appartements et le dénouement du partenariat avec Grosvenor.
En ce qui concerne le passif, le groupe annonce que " la maturité de la dette passe de 4,5 ans, au 1er janvier, à 6,6 ans, au 31 décembre 2002 ", grâce notamment au refinancement de " Village Victor Hugo " et au placement privé sur le marché obligataire nord-américain de 125 millions de dollars.
En revanche, le résultat net est en perte de vitesse, avec une baisse de 47,4% à 34,4 millions d'euros, par rapport à l'année 2001 où le résultat net avait été dopé par un bénéfice exceptionnel de 64,5 millions d'euros.
La progression du résultat d'exploitation s'explique par " la part croissante de l'immobilier de commercial dans le portefeuille et le maintien de taux d'occupation élevés ", a commenté la société, lundi 3 février.
Le Conseil d'Administration proposera à l'Assemblée Générale qui se tiendra le 25 avril le versement d'un dividende par action de 1,20 euros, hors avoir fiscal, soit une augmentation de 20% par rapport à l'exercice précédent. L'AG sera également saisie de l'éventualité de l'option pour le nouveau régime fiscal des Sociétés d'Investissement Immobilier Cotées publié dans la loi de finance 2003.