Le président de la foncière a confirmé l'objectif d'une croissance à deux chiffres du résultat courant et de la capacité d'autofinancement brute pour 2002.
Dans un entretien au Journal des Finances, Yves Mansion, président de la Société Foncière Lyonnaise, filiale de l'assureur britannique Commercial Union, a affirmé " vouloir encore prolonger cette tendance en 2003 ", en dépit d'une baisse des prix de l'immobilier " toujours préoccupante ".
" Notre foncière l'avait anticipé depuis un an ", explique-t-il, ajoutant que " notre patrimoine est mieux protégé que d'autres en raison de sa situation géographique exclusivement dans Paris intra-muros ". Le groupe s'est recentré, comme de nombreux autres, sur les actifs de bureaux et de commerces.
Concernant la politique de dividende du groupe, Yves Mansion a estimé qu'il n'y a " aucune raison pour que notre société ne poursuive pas sa politique de distribution [le dividende brut a progressé de 17% en 2001], qui se trouve toutefois limitée en France par un problème fiscal ".
" C'est la raison pour laquelle le secteur immobilier dont nous faisons partie a déposé auprès des pouvoirs publics un projet de réforme qui instaurerait une transparence fiscale en matière de taxation des plus-values ", a-t-il ajouté.
Interrogé sur la participation de l'actionnaire majoritaire de SFL, qui détient 32% du capital, Yves Mansion a indiqué " n'avoir pas d'information sur un désengagement éventuel de l'un ou l'autre de nos actionnaires ".
Les résultats du premier semestre, publiées le 26 juillet dernier, indiquaient une augmentation du résultat courant de 66,5% à 27,7 millions d'euro et du cash-flow de 41,2% à 41,2 millions d'euro, tandis que la chiffre d'affaires par de groupe évoluait de 13,7% à 75,1 millions d'euro et la valorisation du patrimoine se montait à plus de 2,6 milliards, en augmentation de 119 millions en six mois.
" Notre foncière l'avait anticipé depuis un an ", explique-t-il, ajoutant que " notre patrimoine est mieux protégé que d'autres en raison de sa situation géographique exclusivement dans Paris intra-muros ". Le groupe s'est recentré, comme de nombreux autres, sur les actifs de bureaux et de commerces.
Concernant la politique de dividende du groupe, Yves Mansion a estimé qu'il n'y a " aucune raison pour que notre société ne poursuive pas sa politique de distribution [le dividende brut a progressé de 17% en 2001], qui se trouve toutefois limitée en France par un problème fiscal ".
" C'est la raison pour laquelle le secteur immobilier dont nous faisons partie a déposé auprès des pouvoirs publics un projet de réforme qui instaurerait une transparence fiscale en matière de taxation des plus-values ", a-t-il ajouté.
Interrogé sur la participation de l'actionnaire majoritaire de SFL, qui détient 32% du capital, Yves Mansion a indiqué " n'avoir pas d'information sur un désengagement éventuel de l'un ou l'autre de nos actionnaires ".
Les résultats du premier semestre, publiées le 26 juillet dernier, indiquaient une augmentation du résultat courant de 66,5% à 27,7 millions d'euro et du cash-flow de 41,2% à 41,2 millions d'euro, tandis que la chiffre d'affaires par de groupe évoluait de 13,7% à 75,1 millions d'euro et la valorisation du patrimoine se montait à plus de 2,6 milliards, en augmentation de 119 millions en six mois.