Le groupe suédois de BTP Skanska a réalisé au 3ème trimestre 2003 un résultat net en hausse de 60,2% à 57,7 millions d'euros.
Le résultat courant a progressé de 11,2% à 745 M SEK contre 670 M SEK. C'est moins que les attentes des marchés, qui tablaient sur environ 825 M SEK selon un sondage d'analystes de SME Direkt.
Cette amélioration elle est essentiellement due à une diminution des frais financiers (grâce à la baisse des taux d'intérêts), la hausse plus nette du résultat net venant d'une baisse de la charge fiscale.
La progression du résultat d'exploitation est de fait nettement plus modeste: +1,3% à 887 M SEK contre 876 M SEK. Les gains tirés de la vente de propriétés ont représenté 200 M SEK sur cette somme, quatre fois plus qu'un an plus tôt.
Le chiffre d'affaires du groupe a lui reculé de 4,0% dans l'intervalle, à 34,125 mds SEK (3,71 milliards d’euros) contre 35,556 mds SEK. Il a augmenté de 5% après ajustement des effets de change, compte tenu de l'appréciation de la couronne suédoise, selon le groupe.
Les commandes passées sur le trimestre ont au contraire augmenté de 7,9%, à 36,372 mds SEK, le carnet de commandes se montant au 30 septembre 2003 à 134,324 mds SEK (contre 145,512 mds SEK un an plus tôt). Elles ont augmenté de 14% en monnaies locales, a précisé Skanska.
Sur les neuf premiers mois de l'année, le résultat net a quadruplé à 2,001 mds SEK et le résultat d'exploitation a été multiplié par 2,7 à 2,883 mds SEK, tandis que le résultat d'exploitation a progressé de 69,0% à 3,254 mds SEK, sur un chiffre d'affaires en repli de 7,9% à 99,481 mds SEK (+1 en monnaies locales).
Malgré l'embellie des résultats, les chantiers de construction continuent à reculer sur la quasi-totalité des marchés, à l'exception de la République tchèque et de la Grande-Bretagne, en raison de la faiblesse des investissements dans les secteurs industriels et commerciaux, a expliqué le groupe suédois.
Aux Etats-Unis, principal marché de Skanska, le groupe ne compte même plus sur les projets porteurs dans le domaine de la santé et de l'éducation, freinés à cause de l'endettement des Etats devrait les pousser à freiner leurs dépenses.
Cette amélioration elle est essentiellement due à une diminution des frais financiers (grâce à la baisse des taux d'intérêts), la hausse plus nette du résultat net venant d'une baisse de la charge fiscale.
La progression du résultat d'exploitation est de fait nettement plus modeste: +1,3% à 887 M SEK contre 876 M SEK. Les gains tirés de la vente de propriétés ont représenté 200 M SEK sur cette somme, quatre fois plus qu'un an plus tôt.
Le chiffre d'affaires du groupe a lui reculé de 4,0% dans l'intervalle, à 34,125 mds SEK (3,71 milliards d’euros) contre 35,556 mds SEK. Il a augmenté de 5% après ajustement des effets de change, compte tenu de l'appréciation de la couronne suédoise, selon le groupe.
Les commandes passées sur le trimestre ont au contraire augmenté de 7,9%, à 36,372 mds SEK, le carnet de commandes se montant au 30 septembre 2003 à 134,324 mds SEK (contre 145,512 mds SEK un an plus tôt). Elles ont augmenté de 14% en monnaies locales, a précisé Skanska.
Sur les neuf premiers mois de l'année, le résultat net a quadruplé à 2,001 mds SEK et le résultat d'exploitation a été multiplié par 2,7 à 2,883 mds SEK, tandis que le résultat d'exploitation a progressé de 69,0% à 3,254 mds SEK, sur un chiffre d'affaires en repli de 7,9% à 99,481 mds SEK (+1 en monnaies locales).
Malgré l'embellie des résultats, les chantiers de construction continuent à reculer sur la quasi-totalité des marchés, à l'exception de la République tchèque et de la Grande-Bretagne, en raison de la faiblesse des investissements dans les secteurs industriels et commerciaux, a expliqué le groupe suédois.
Aux Etats-Unis, principal marché de Skanska, le groupe ne compte même plus sur les projets porteurs dans le domaine de la santé et de l'éducation, freinés à cause de l'endettement des Etats devrait les pousser à freiner leurs dépenses.
