Le groupe suédois de BTP Skanska - déficitaire en 2002, a réalisé quelque 302 millions d'euros de bénéfice l'année dernière.
Skanska a réalisé en 2003 un bénéfice net de 2,761 milliards de couronnes suédoises (302 millions d'euros) contre une perte de 837 M SEK en 2002, a-t-il annoncé vendredi. Le résultat courant imposable ressort à 4,072 mds SEK après un exercice 2002 tout juste à l'équilibre, à 73 M SEK.
Le résultat opérationnel a été multiplié par 4,6, à 4,532 mds SEK sur un chiffre d'affaires en recul de 6,4%, à 132,8 mds SEK en grande partie dû à l'affaiblissement du dollar, de la livre sterling et de la couronne norvégienne par rapport à la couronne suédoise (c.a. en hausse de 3% sans les effets de change).
Skanska a par ailleurs indiqué avoir résorbé sa dette de 9,376 mds SEK (au 31 décembre 2002) essentiellement grâce à la cession de bureaux.
Le groupe note que le volume des investissements dans la construction demeure faible sur ses marchés clé, sauf en République tchèque et dans le secteur privé en Grande-Bretagne, où un consortium mené par le groupe suédois s'est récemment vu attribuer le plus important projet hospitalier privé, estimé à environ 1,4 milliard d'euros.
Aux Etats-Unis comme en Suède, le secteur pâtit du faible volume des projets de construction commerciale et industrielle tandis qu'en Pologne, la forte concurrence pondère les effets d'un début de reprise dans la construction de bureaux.
La construction résidentielle se porte bien en revanche en République tchèque, Russie et Finlande, de même qu'en Norvège dans la seconde moitié de l'année. En Suède, la construction de logements concerne des gammes de prix moyennes et inférieures.
Dans les travaux publics, Skanska table sur une reprise graduelle sur ses principaux marchés même si les déficits budgétaires américains entraîneront à terme un ralentissement de l'activité dans ce secteur.
Le résultat opérationnel a été multiplié par 4,6, à 4,532 mds SEK sur un chiffre d'affaires en recul de 6,4%, à 132,8 mds SEK en grande partie dû à l'affaiblissement du dollar, de la livre sterling et de la couronne norvégienne par rapport à la couronne suédoise (c.a. en hausse de 3% sans les effets de change).
Skanska a par ailleurs indiqué avoir résorbé sa dette de 9,376 mds SEK (au 31 décembre 2002) essentiellement grâce à la cession de bureaux.
Le groupe note que le volume des investissements dans la construction demeure faible sur ses marchés clé, sauf en République tchèque et dans le secteur privé en Grande-Bretagne, où un consortium mené par le groupe suédois s'est récemment vu attribuer le plus important projet hospitalier privé, estimé à environ 1,4 milliard d'euros.
Aux Etats-Unis comme en Suède, le secteur pâtit du faible volume des projets de construction commerciale et industrielle tandis qu'en Pologne, la forte concurrence pondère les effets d'un début de reprise dans la construction de bureaux.
La construction résidentielle se porte bien en revanche en République tchèque, Russie et Finlande, de même qu'en Norvège dans la seconde moitié de l'année. En Suède, la construction de logements concerne des gammes de prix moyennes et inférieures.
Dans les travaux publics, Skanska table sur une reprise graduelle sur ses principaux marchés même si les déficits budgétaires américains entraîneront à terme un ralentissement de l'activité dans ce secteur.