Le groupe de travaux publics sud-coréen SK-E&C vient d'être sélectionné pour la construction d'une raffinerie opérée par l'Equateur et le Venezuela sur le Pacifique.
Seuls membres latino-américains de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), l'Equateur et le Venezuela viennent de choisir le groupe de travaux publics sud-coréen SK-E&C pour la construction d'une raffinerie.
Cette dernière, dont le montant s'élève à 8 milliards d'euros et qui devrait être achevée en 2013, sera construite entre les ports de Manta, 280 km au sud-ouest de Quito, capitale de l'Equateur et Montecristi, à 22 km de Manta, dans la province côtière de Manabi où 1.347 hectares de terrain ont été récemment achetés pour le complexe pétro-chimique, qui occupera une superficie totale de 3.000 hectares.
Ce projet, lancé par le président vénézuélien Hugo Chavez et son allié équatorien Rafael Correa en juillet 2008, permettra de raffiner 300.000 barils de brut par jour.
A noter que le Venezuela produirait actuellement 3,2 millions de barils par jour de brut, et l'Equateur, plus petit membre de l'Opep, environ 491.000 barils.
Cette dernière, dont le montant s'élève à 8 milliards d'euros et qui devrait être achevée en 2013, sera construite entre les ports de Manta, 280 km au sud-ouest de Quito, capitale de l'Equateur et Montecristi, à 22 km de Manta, dans la province côtière de Manabi où 1.347 hectares de terrain ont été récemment achetés pour le complexe pétro-chimique, qui occupera une superficie totale de 3.000 hectares.
Ce projet, lancé par le président vénézuélien Hugo Chavez et son allié équatorien Rafael Correa en juillet 2008, permettra de raffiner 300.000 barils de brut par jour.
A noter que le Venezuela produirait actuellement 3,2 millions de barils par jour de brut, et l'Equateur, plus petit membre de l'Opep, environ 491.000 barils.