"Nous avons supprimé 14 étapes de pompage et de déplacement des vins sur 20", précise Christophe Lopes. "Cela ne nous permet pas de produire plus mais mieux dans l'année, et nous limitons de nombreux risques, comme celui de perdre une partie de la production dans un accident de trajet, à cause de l'évaporation ou de températures changeantes. La réduction de ces étapes de process permet aussi de baisser notre empreinte carbone."
"Le process était au cœur du cahier des charges. Nous avons donc dessiné le bâtiment autour de celui-ci", intervient Stéphanie Ledoux, architecte associée d'AW². "Nous devions intégrer beaucoup de réseaux dans ce bâtiment industriel, construit autour d'une fonction. Un travail important a été mené avec des ingénieurs pour concevoir un espace dans lequel les réseaux qualifient l'espace", explique-t-elle.
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