Organisé à Lille du 9 au 11 octobre 2007, le 41e Congrès national des Sem (Sociétés d’économie mixte) accueillera 2.000 élus locaux et dirigeants du développement local. L’occasion d'évoquer l’engagement des Sem dans «la voie de la performance globale».
«La performance globale englobe les notions de développement durable et de responsabilité sociale des entreprises. Les Sem y sont attachées et ces principes sont au cœur de leur mode de fonctionnement», déclare la Fédération des Sem dans un communiqué. Le Congrès sera l’occasion pour elles de montrer leur engagement dans la voie de la performance globale.
De même, les Sem mettront en avant leur instrument de mesure et de valorisation de leur performance globale : le bilan global. Soutenu par la Fédération des Sem, Socotec, la Caisse des dépôts et les Chambres régionales des comptes, «cette démarche permet d'analyser et de valoriser l'ensemble des impacts directs et indirects générés par l'activité d'une Sem sur son territoire non portés au crédit de son bilan comptable», précise-t-elle. Plus de 40 Sem ont adopté cet instrument.
Quelques projets de développement durable
Pour les Sem, «le développement durable et la responsabilité sociétale sont des priorités ancrées dans le management de l’entreprise». Par exemple, dans le domaine de l'aménagement et de la construction, la Sem Val de Bourgogne a aménagé le 1er éco quartier de France à Chalon-sur-Saône, et la Semaest a inauguré, il y a 15 jours à Paris, la plus grande opération solaire en centre-ville de France en dotant une halle de 3.300 m² de panneaux photovoltaïques. A noter également l'opération innovante réalisée par Sipea Habitat, près de Poitiers : 8 logements en ossature bois, véritables concentrés de développement durable, d'une très haute propriété énergétique et certifiés Qualitel et Habitat et Environnement.
1.117 Sem sont en activité en France, dont 50 dans les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie. Elles interviennent au bénéfice des collectivités locales et de leurs habitants dans une quarantaine de domaines d’activité d’intérêt général, principalement dans l’aménagement, le logement, le tourisme, le développement économique, les transports, l’eau et l’énergie.
De même, les Sem mettront en avant leur instrument de mesure et de valorisation de leur performance globale : le bilan global. Soutenu par la Fédération des Sem, Socotec, la Caisse des dépôts et les Chambres régionales des comptes, «cette démarche permet d'analyser et de valoriser l'ensemble des impacts directs et indirects générés par l'activité d'une Sem sur son territoire non portés au crédit de son bilan comptable», précise-t-elle. Plus de 40 Sem ont adopté cet instrument.
Quelques projets de développement durable
Pour les Sem, «le développement durable et la responsabilité sociétale sont des priorités ancrées dans le management de l’entreprise». Par exemple, dans le domaine de l'aménagement et de la construction, la Sem Val de Bourgogne a aménagé le 1er éco quartier de France à Chalon-sur-Saône, et la Semaest a inauguré, il y a 15 jours à Paris, la plus grande opération solaire en centre-ville de France en dotant une halle de 3.300 m² de panneaux photovoltaïques. A noter également l'opération innovante réalisée par Sipea Habitat, près de Poitiers : 8 logements en ossature bois, véritables concentrés de développement durable, d'une très haute propriété énergétique et certifiés Qualitel et Habitat et Environnement.
1.117 Sem sont en activité en France, dont 50 dans les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie. Elles interviennent au bénéfice des collectivités locales et de leurs habitants dans une quarantaine de domaines d’activité d’intérêt général, principalement dans l’aménagement, le logement, le tourisme, le développement économique, les transports, l’eau et l’énergie.
