Le syndicat des eaux d'Ile-de-France (Sedif) a dénoncé les "calculs erronés" et les "partis pris" de l'étude de l'UFC-Que Choisir publiée lundi, qui le place au premier rang des syndicats surfacturant l'eau.
"Le Sedif dénonce les partis pris de la nouvelle enquête UFC-Que Choisir. Une fois de plus, l'UFC-Que Choisir s'en prend au Syndicat des Eaux d'Ile-de-France (Sedif), sur la base de calculs erronés et sans réelle compréhension des métiers de l'eau", indique le syndicat dans un communiqué.
L'étude de l'association de consommateurs qui prend en compte 19 agglomérations, remet la palme de la surfacturation au Sedif, dont une partie des compétences est déléguée au groupe privé Veolia. Dans cette enquête, l'UFC a calculé une marge entre le prix facturé et ce que l'eau devrait coûter selon elle qui s'élève pour le Sedif à 58,7%. Ce qui signifie que sur 100 euros facturés, 58,7 euros lui reviennent.
Pour le syndicat, l'utilisation du mot marge est "impropre" car étant un "établissement public, le Sedif ne peut pas faire de marges bénéficiaires, puisque les excédents budgétaires sont chaque année réinvestis dans l'exercice suivant", poursuit le syndicat, qui assure que l'UFC n'a pas pris contact avec lui "afin d'obtenir des éléments réels et précis".
L'étude de l'association de consommateurs qui prend en compte 19 agglomérations, remet la palme de la surfacturation au Sedif, dont une partie des compétences est déléguée au groupe privé Veolia. Dans cette enquête, l'UFC a calculé une marge entre le prix facturé et ce que l'eau devrait coûter selon elle qui s'élève pour le Sedif à 58,7%. Ce qui signifie que sur 100 euros facturés, 58,7 euros lui reviennent.
Pour le syndicat, l'utilisation du mot marge est "impropre" car étant un "établissement public, le Sedif ne peut pas faire de marges bénéficiaires, puisque les excédents budgétaires sont chaque année réinvestis dans l'exercice suivant", poursuit le syndicat, qui assure que l'UFC n'a pas pris contact avec lui "afin d'obtenir des éléments réels et précis".