Raccourcir la durée du trajet entre la capitale et le plus grand aéroport de France, tel est le nouveau défi du gouvernement. Pour le relever, des négociations ont été lancées avec Vinci pour une liaison Charles De Gaulle express.
Dans le cadre du projet de ligne ferroviaire « CDG Express », le ministre de l’écologie Jean-Louis Borloo, et le secrétaire d’état aux transports Dominique Bussereau, se sont adressés au groupe BTP Vinci, composé de Vinci Concessions, Vinci SA, la Caisse des Dépôts et Consignations, Axa Infrastructures Investissements et Keolis.
Après les négociations et la signature d’un contrat en 2009, la ligne d’une longueur totale de 32 kilomètres qui reliera la gare de l’Est (Paris) à l’aéroport Roissy CDG, devrait être mise en service, mais seulement après la modernisation du RER B, au nord de Paris, soit à l’horizon 2014.
En tout, 640 millions d’euros devraient être débloqués pour permettre à cette navette de relier Roissy CDG à Paris en 20 minutes contre 30 minutes aujourd’hui. Un enjeu de taille qui s’inscrit pleinement dans le contexte de la loi Grenelle et l’utilisation des transports collectifs pour une politique de mobilité durable, souligne Jean-Louis Borloo.
Après les négociations et la signature d’un contrat en 2009, la ligne d’une longueur totale de 32 kilomètres qui reliera la gare de l’Est (Paris) à l’aéroport Roissy CDG, devrait être mise en service, mais seulement après la modernisation du RER B, au nord de Paris, soit à l’horizon 2014.
En tout, 640 millions d’euros devraient être débloqués pour permettre à cette navette de relier Roissy CDG à Paris en 20 minutes contre 30 minutes aujourd’hui. Un enjeu de taille qui s’inscrit pleinement dans le contexte de la loi Grenelle et l’utilisation des transports collectifs pour une politique de mobilité durable, souligne Jean-Louis Borloo.
