Le fabricant néo-zélandais de matériel électrique et électronique PDL Holdings a annoncé lundi la vente par ses principaux actionnaires de 59,6% du capital au groupe français Schneider Electric, qui en détenait déjà 28%.
Schneider rachète ainsi la participation de la famille Stewart, les fondateurs de PDL. L'achat de 8,1 millions d'actions à la famille Steward, au prix de 12,00 dollars néo-zélandais, devrait se faire à condition que Schneider prenne le contrôle de 90% de PDL, limite fixée pour l'acquisition du solde, écrit le groupe français dans une lettre à la famille. Aussi, Schneider prévoit de parvenir au seuil de 90% en faisant une offre sur la participation de 2,1% de la société de Hong Kong Gold Peak, son concurrent dans l'opération qui détient actuellement 8,24% de PDL.
Schneider Electric compte utiliser son réseau de ventes mondial pour commercialiser les produits PDL, ajoute le communiqué du groupe néo-zélandais, qui avait annoncé en mai le transfert d'un tiers de sa production de produits électriques en Chine afin de réduire ses coûts.
PDL a réalisé un bénéfice net de 2,3 millions de dollars néo-zélandais pour l'exercice à fin mars, en baisse de près de la moitié en raison de coûts de restructuration, du ralentissement de l'activité dans le bâtiment et des effets négatifs de la baisse du dollar néo-zélandais.
Schneider Electric compte utiliser son réseau de ventes mondial pour commercialiser les produits PDL, ajoute le communiqué du groupe néo-zélandais, qui avait annoncé en mai le transfert d'un tiers de sa production de produits électriques en Chine afin de réduire ses coûts.
PDL a réalisé un bénéfice net de 2,3 millions de dollars néo-zélandais pour l'exercice à fin mars, en baisse de près de la moitié en raison de coûts de restructuration, du ralentissement de l'activité dans le bâtiment et des effets négatifs de la baisse du dollar néo-zélandais.
