Pierre Tabary, directeur de la zone Pacifique du groupe français de matériel électrique a indiqué qu'il tablait sur une croissance à deux chiffres de ses ventes dans la région.
"Nous allons avoir une croissance supérieure à celle de Schneider Electric. Pendant plusieurs années, nous ferons mieux que 10% de croissance par an dans la zone Pacifique", a estimé M. Tabary lors d'une conférence de presse à Paris.
En 2002, le chiffre d'affaires du groupe dans cette zone a atteint 200 millions d'euros. "En dix ans, le chiffre d'affaires est passé de 60 millions d'euros à 200 millions d'euros ", a souligné M. Tabary. "Il nous reste un énorme potentiel de croissance", a-t-il affirmé.
Dans cette région, les marges de Schneider Electric sont "un peu plus élevées que la moyenne du groupe", a déclaré le responsable, sans chiffrer le montant des marges de la zone Pacifique.
"Aujourd'hui, nous sommes assez forts là-bas et nous arrivons à maintenir des marges plutôt correctes. Compte tenu de l'éloignement géographique, les barrières d'entrée sur ce marché sont assez fortes, mais c'est vrai qu'elles s'érodent" en raison de la proximité et des ambitions de l'Asie, a ajouté M. Tabary.
La zone Pacifique regroupe deux principaux pays, l'Australie (19 millions d'habitants) et la Nouvelle-Zélande (4 millions d'habitants), ainsi que des petites îles, dont l'archipel du Vanuatu, la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française.
Schneider Electric, dont la première implantation dans la zone remonte à 1963, y a musclé ses positions avec quatre acquisitions réalisées de 1994 à 2001. Le groupe sert différents marchés: le résidentiel, le bâtiment, l'industrie, l'énergie et les infrastructures.
"Nous sommes passés d'une société purement commerciale à une société qui a maintenant des implantations industrielles fortes. Ces usines n'alimentent pas seulement le marché local mais également les clients de Schneider Electric dans le reste du monde", a expliqué M. Tabary.
Actuellement, l'entreprise française revendique dans la zone Pacifique la place de numéro un dans la distribution électrique basse et moyenne tension, ainsi que dans les automatismes.
En 2002, le chiffre d'affaires du groupe dans cette zone a atteint 200 millions d'euros. "En dix ans, le chiffre d'affaires est passé de 60 millions d'euros à 200 millions d'euros ", a souligné M. Tabary. "Il nous reste un énorme potentiel de croissance", a-t-il affirmé.
Dans cette région, les marges de Schneider Electric sont "un peu plus élevées que la moyenne du groupe", a déclaré le responsable, sans chiffrer le montant des marges de la zone Pacifique.
"Aujourd'hui, nous sommes assez forts là-bas et nous arrivons à maintenir des marges plutôt correctes. Compte tenu de l'éloignement géographique, les barrières d'entrée sur ce marché sont assez fortes, mais c'est vrai qu'elles s'érodent" en raison de la proximité et des ambitions de l'Asie, a ajouté M. Tabary.
La zone Pacifique regroupe deux principaux pays, l'Australie (19 millions d'habitants) et la Nouvelle-Zélande (4 millions d'habitants), ainsi que des petites îles, dont l'archipel du Vanuatu, la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française.
Schneider Electric, dont la première implantation dans la zone remonte à 1963, y a musclé ses positions avec quatre acquisitions réalisées de 1994 à 2001. Le groupe sert différents marchés: le résidentiel, le bâtiment, l'industrie, l'énergie et les infrastructures.
"Nous sommes passés d'une société purement commerciale à une société qui a maintenant des implantations industrielles fortes. Ces usines n'alimentent pas seulement le marché local mais également les clients de Schneider Electric dans le reste du monde", a expliqué M. Tabary.
Actuellement, l'entreprise française revendique dans la zone Pacifique la place de numéro un dans la distribution électrique basse et moyenne tension, ainsi que dans les automatismes.