Tout en restant extrêmement prudent, le pdg de Schneider Electric se montre confiant au sujet de l'OPE de son groupe sur Legrand.
Schneider Electric, qui a modifié jeudi son projet d'offre publique d'échange (OPE) sur son concurrent Legrand en rémunérant mieux les porteurs d'actions à dividende prioritaire (ADP) Legrand, n'a "pas de raison de penser qu'un certain nombre de porteurs d'ADP sont mécontents", a déclaré lundi le Pdg de Schneider Electric, Henri Lachmann."L'écho que nous avons reçu est plutôt favorable, y compris de l'ADAM" (ndlr: l'Association pour la défense des actionnaires minoritaires qui avait mené la contestation contre l'offre initiale déposée en janvier), a affirmé M. Lachmann.
Toutefois, le quotidien économique Les Echos a rapporté lundi les critiques de fonds d'investissement anglo-saxons hostiles à la version remaniée du projet d'OPE et qui n'excluent pas de la contester en justice.
C'est sans doute pourquoi, le pdg de Schneider Electric s'est voulu "extrêmement prudent" quant au calendrier de cette opération amicale.
"Nous devrions obtenir l'avis de recevabilité du Conseil des marchés financiers (CMF) le 14 juin", a estimé Henri Lachmann. L'offre pourrait être clôturée "dans la deuxième quinzaine de juillet" et son résultat connu "début août ".
Henri Lachmann, qui doit devenir président du directoire du futur groupe
fusionné Schneider Legrand, a expliqué avoir préféré modifier son offre plutôt que de répliquer en justice pour "aller de l'avant". "En restant dans des débats juridiques, on risquait de gagner, mais les entreprises risquaient de perdre", a-t-il dit.
Concernant l'examen du dossier de fusion par les autorités européennes de la concurrence, le Pdg de Schneider Electric a estimé pouvoir obtenir le feu vert de la Commission européenne "fin septembre".
Henri Lachmann a également confirmé devant les actionnaires le montant des synergies qu'engendreraient la fusion de leur groupe avec Legrand, soit un montant total de "210 miilions d'euros, dont 120 millions en synergies de coûts et 90 millions de revenus" en résultat d'exploitation à partir de 2003.
Enfin, interrogé sur une introduction de la société à la Bourse de New York, Henri. Lachmann a indiqué que son équipe "pense pouvoir le faire au cours du deuxième trimestre 2002". "Nous n'envisageons pas d'augmentation de capital en date d'aujourd'hui", a-t-il ajouté.
Toutefois, le quotidien économique Les Echos a rapporté lundi les critiques de fonds d'investissement anglo-saxons hostiles à la version remaniée du projet d'OPE et qui n'excluent pas de la contester en justice.
C'est sans doute pourquoi, le pdg de Schneider Electric s'est voulu "extrêmement prudent" quant au calendrier de cette opération amicale.
"Nous devrions obtenir l'avis de recevabilité du Conseil des marchés financiers (CMF) le 14 juin", a estimé Henri Lachmann. L'offre pourrait être clôturée "dans la deuxième quinzaine de juillet" et son résultat connu "début août ".
Henri Lachmann, qui doit devenir président du directoire du futur groupe
fusionné Schneider Legrand, a expliqué avoir préféré modifier son offre plutôt que de répliquer en justice pour "aller de l'avant". "En restant dans des débats juridiques, on risquait de gagner, mais les entreprises risquaient de perdre", a-t-il dit.
Concernant l'examen du dossier de fusion par les autorités européennes de la concurrence, le Pdg de Schneider Electric a estimé pouvoir obtenir le feu vert de la Commission européenne "fin septembre".
Henri Lachmann a également confirmé devant les actionnaires le montant des synergies qu'engendreraient la fusion de leur groupe avec Legrand, soit un montant total de "210 miilions d'euros, dont 120 millions en synergies de coûts et 90 millions de revenus" en résultat d'exploitation à partir de 2003.
Enfin, interrogé sur une introduction de la société à la Bourse de New York, Henri. Lachmann a indiqué que son équipe "pense pouvoir le faire au cours du deuxième trimestre 2002". "Nous n'envisageons pas d'augmentation de capital en date d'aujourd'hui", a-t-il ajouté.
